Aller au contenu

Photo

Cryptogrammes Maïeutiques Poétiques

Souffle Cosmos Idéal Miroir

  • Veuillez vous connecter pour répondre
5 réponses à ce sujet

#1 clemouchka

clemouchka

    Tlpsien ++

  • Membre sympathisant
  • PipPipPip
  • 72 messages
  • Une phrase ::Tout est Amour, Dieu est pur Amour.

Posté 17 août 2021 - 06:39

Le firmament à genoux devant les chairs blasphématoires ou rient les azurs des mains crevées d’esthétiques pluies des nénuphars de comètes silencieuses, ou ruisselaient les parchemins Biologiques frissonnant, caressant des hosannas Littératures, ô jalousies des gnoses acoustiques ou pendaient des minéraux sinistres aux dardés, aux frondaisons Génétiques des fatalités spectrales, balancées de sanglants liquides, des infamies de souvenirs les cerveaux à peaux d’horloges mangées, des vins télépathes aux hybridités pleureuses de diamants hystériques, ô pachydermes mystérieux, les souffles vivaces aux fourmillements des abeilles découvertes, des flamboyantes fièvres aux tambours aux cistres aux guitares effrayantes, affreuses, sidérales, épouvantables, drainées d’abstinences sociologiques, des pinastres pubescents ou riaient les alcools roux, des convulsions d’étoiles géométrales ou des inflorescences à trahisons des libellules phtisiques, moléculaires, anachorètes, des couleurs structuralistes, des désirs en chevelures pâmées des veines temporelles, aux Océans pénétrés de clartés, d’invisibles plasticités ou des planètes différentielles, assassines, des filaments défendus, les Religions sémantiques, sacrificielles, abandonnées, perclus d’identités aveuglément aurorales, les cadavres saignés en des synthétiques linceuls mélancoliques, insondables, meurtrissures des ataraxies existentielles ou coulaient, roulaient les flottements laboratoires, des cataractes séditieuses les prostitutions psychologiques, des nudités des vierges implants à discriminatoires, des plantes emperlées de tiédeurs tourbillons, cascades des pyramidales sociologies, les neurologies comportementales, associatives des murmures, des exhalaisons de citadelles à maïeutiques d’ors, les fontaines miséreuses, alanguies des algues, des miroirs, des échos, des diapasons enfantant les alcôves d’autels symétriques, ô sarments des infinis grimpant, accrochant, les quadratures des couvents, des citadelles, des mosquées, des synagogues, les Délices des visages archéologiques, les architectures des Funérailles des Néants à vibrisses mentales, ô gonflements torrentiels, des arbres ramassés, torchés d’ouragans aux archanges mimétiques, reproductifs, reproductibles, des délires Espoirs des clavicules, les saules immanents, abstraits, ô Lunes harmonieuses ou des déhiscences d’imagos relationnels, Saintetés gnoses, ô aquilons cryptiques, des crépuscules Cathartiques ou des perfusions, des intégrations lavées des statues bouffées, mangées, avalées, nourries, les hypostases étrangères à foudres, à grammatologies eugénistes, les fragrances d’un Je Liberté les fantômes, les esprits, les faubourgs des sourcils lâchés de cymbales guillotinées, ou des araignées solitudes, découvertes de Mathématiques aliénations, les Beautés horrifiques, des intellections végétatives, les complétudes d’araignées élastiques, extensivités, d’intérêt, des incrustations innéistes, des morphologies Jalouses, inesthétiques, onirismes flagellés, les animaux aux huit pattes réfléchissements, endocrinologies, des clairvoyances aveuglées défuntes, mortes, des musicologies arthropodes, en des infamies circonflexes par-delà, les réflexologies des voyelles bicéphales, ô Jasmins des offrandes bleues, à inflorescences les Charmes éveils, voilés de nourritures à roseaux, à botaniques transmissions, des ailes aux éclipses pendues, sous les oiseaux intemporels, ô orgiaques pénétrations, des achalandages symplectiques, ô symétries… !

 

 

Des balançoires de chairs
Corps des dés ou brillent
les corps les raisins aux nonchaloirs
Des aveux systémiques ô torches d’abeilles
prénatales enfantant des peaux génocides
Cascades des singes hermaphrodites
O délires bleus des stigmates pourpres
Les clavecins... .
Des oiseaux verticaux aux brasiers des viandes
Les délires des végétations hyperboliques
Les anneaux des mensonges hermaphrodismes
O cimetières d’anges les délices d’arbres
Mangeant des écritures zoophages
O ipséités des désirs hybrides
O silences des torches les yeux
Inorganiques ? Voiles des songes peinturlurés
D’offrandes architectoniques des incandescences
Miroirs des lessives aux Justices des doigts accouplés
Des soleils d’horloges aux miroirs invisibles
o cimetières... !
Des bizarreries paradoxales énuclées, des chiffres sans oiseaux
Distractions des laboratoires artificiels, aux catalyses d’araignées mentales
Les exhalaisons des grimoires interdits, ô offrandes des péchés aveuglés
Des clystères perfectibles aux éclats phénoménologiques des absences
Des bergers esthétiques ou flamboient les cerises rousses
O paysages des irrigations industrielles ou des faisceaux noirs
Déversent des continences d’hosties comparatives
O langues !
Des lèvres d’argents dépositaires les poussières d’abeilles géographes
Les commercialisations d’astres aux peintures d’architectures larvées d’enfantements
Abstraits, les sueurs spectrales des extériorités des comètes téléguidés d’infrastructures
Les pachydermes paranoïaques, onirismes des flagelles aux orchestrations télépathes
Consciences des tuyauteries transmissions les brasiers à planètes inconscientes, des degrés
Analytiques les afflictions fractales les fusées génocidaires, pleines d’incongruences machinistes
Les traumatismes des pendules sarcastiques, lovés d’incontinences à diapasons d’ossements comparatifs
O compositions sécrétrices de rêves acoustiques, les javelles des combinatoires à tremblements informatiques
Des incontinences cosmiques des Rires botaniques, les vacuités des hagiographies contrites, ô substances
Des arbres éthiques. Clairvoyances !
Des branchiales inesthétiques par-delà les schèmes concentriques des structuralismes d’ascenseurs contre-intuitifs
Les crânes à paupières d’oublis déliquescents, églises des pulsions à chrysalides les critiques des criques sentir
Les polymères caniculaires des trouées d’arc-en-ciels ou respirent les cohomologies des meurtrissures artistiques
Descendons à verticalités des graphes cellulaires aux orgies de sables plastiques
Les serpents infectueux, nauséabonds des cigares voluptés multiplicatifs, des fruits anatomiques
Personnalités des échos d’alcools blessés, ou s’égouttent des mansuétudes, des grâces vitalistes
Les contractuelles irrégularités des enfantements syllabiques, les oenologies d’apartheids équilatéraux
Les citrons corporels ou chantent les pâmoisons des bergers chimiques
O visages des délicatesses de sarcophages anthropologiques ou murmurent des pachydermes aux opinions hermaphrodites
O sénescences des personnalités pénétrées d’aumônes dyslexiques, ou chialent des éducations d’étiquettes imprimées
D’associationnismes les guêpes mentales, les hiboux aux grimoires vidés d’implants, les cous flottants des scorpions ataviques
O oublis
Les cruautés capitalistes des mains circonflexes ou les plus irrépressibles neurones puisent des signatures d’ipséités élastiques
Les insectes aux échines dialectiques ou prient les perles rachitiques des aumônes les nénuphars aux bleus magnétismes des narines
Les administrations des copules aux singularités des transparences les omoplates subjectivistes ou des chevaux matriciels, chicanent
Des violons arrachés de vibrisses latines, les agricultures des crépuscules technicistes ou des paradoxes surréalistes, s’épurent des
sexes
Aux idiosyncrasies des soupirs spoliés, de nucléaires communications des flûtes impersonnelles, immobiles, figées de cécités les
fourmis
Aux distanciations des chlorophylles translucides, diaphanéités des anges australopithèques, les sida boursouflés des maïeutiques
épicuriennes
Les modifications impénitentes des ciboires évolutifs, les sidéraux athéismes des diamants, à attouchements d’ordinateurs
symétriques
Les primales olfactions horrifiques des béatitudes matérialistes à outillages des fétichismes communautarismes les incomplétudes
Des débordements généalogiques à syntagmes con-pénétrations des pointillistes crachés de trépidations des reptiliennes commissures
Des joues historiales exhumées les cadavres de verres portatifs des difficultés d’écureuils musiciens créationnistes, les clystères de
moutons
Ou les pyramides fermentées des hasards sensualistes les charnus squelettes, des travestissements à comètes diététiques les savons
hypocrites
O flacons miroirs !
Des ventres hypostasiés les lunules expressionnistes, ou les bétails des navires doxiques, prohibitions synthétiques des artefacts
contrits
Des mystères de statistiques aux transcendantales génuflexions des chaos symplectiques, les ombres des herméneutiques apocalypses
les cygnes
Aux sémiotiques ossements les paranoïdes sourires à discriminants pétales des nourritures, à discrétions condamnées des flagelles
damnées
Aux microscopes impermanences, des fossilisations à poissons les hilares isotopiques, des pouls blasphématoires, les gestations de
suppositoires

Aux torticolis des chômages inhibitifs les morceaux des découvertes différentielles là, les empirismes aux bacchantes, des clavicules
d’hydres
Les Dieux anatomiques blessés d’incorporéités les mécanicismes d’imagos, les issues des déchets extrasensoriels, ou les stochastiques
Agricultures des Phoenix à ramages les victuailles déterministes, des politologies des tigres aux voyelles innéistes, ô soupçons des
Azurs nominalistes, des excédents phylogénétiques, les photographies des pneumatismes, les subsidiaires incongruences, des Cyclopes
Ou les compliments des transsubstantiations accouplées de cinématographies, les arborescences les univers réfringents, analytiques, ô
Actualismes des prostitutions, des vins polyglottes ou des pluies de fœtus inondent leurs diffractions de bières homéostats, des
rivières
Les effacés chrysanthèmes, des automatismes généalogiques des substitutions, les épices épidémiques des déliquescences criticistes, les mariages roux
Les implémentations bicéphales des communismes ou des mausolées numériques par-delà les providences artérielles, des sifflements
Criminologiques les dépassements surhumains, des kystes aux propriétés convergentes, les cathodes contingentes, des inerties de
miettes
Les polarités démonologies des syntaxiques champignons, les vides propédeutiques, les reflets syncopes, des assomptions
sociologiques
Les roseaux polygraphes, des acuités en tombeaux dégressifs, alimentaires, les avoirs des mouchoirs, les télégraphes, les abîmes, les à
jeun
Des bergers des saisons hormonales ou perclus, les élytres des plantes manichéistes, les prismatiques négritudes, des permanences, des
saphirs
Les anachorètes, les bois les cultuels les colonnes les chandeliers les bougies, aux agglutinations cataleptiques, des boires créations
Les classifications pharmacologiques, des déontologiques mimétiques, les orgies contraceptives, des desseins idéels, ô percalaisons
Des intentionnelles statues, aux alcaloïdes, des géométriques camphres exfoliés, de jachères à dédoublements, des psychoses
Les Voies Lactées, des suintements ou soufflent des volubilis déifiques, les péripatéticiennes les poings factuels, accidentels
Des Diables radioactifs, les impondérables, des ventres aux architectoniques, les zéphyrs existentialistes, les roseaux les dividendes
Les isolations d’infrarouges, les sustentes les liquides les clonages des boules des homogénéités des asymptotes lyrismes
O vagissements des écueils politiques, ô petites fenêtres des physiologies, des cascades en grossesses, des cyclamens topologiques
Les étrangetés paroxystiques, empreintes des sirènes tautologiques, cycles des évanouissements, les reproductions immatérielles, des
jambes
A travers des Religiosités en gestations hypothétiques, des recueillements circonflexes, des sanguins équilibres, les cycles
d’holocaustes
Aux inaliénations des devenirs en cordes des firmaments d’animaux géodésiques, les poupées des chiffres anathèmes grammaticaux
Les modélisations des accouchements littéraires ou des complétudes saintes dressaient, inventoriaient, des arithmétiques les zéros
Aux dendrites des primales négativités, les transports des publicistes Alpha et Oméga, des griefs les feux pré-déterministes, des toiles
Les zététiques, des arborescences les maisonnées les territorialités, des ADN syphilitiques, ô vieilleries torrentielles, des guitares
Aux choyant bicéphales, des entendements crucifiés, les âmes pendues, de cartilages aux flottements, des ronces prothésistes
Les nymphes aux défragmentations temporelles, ou des idées fusionnent, d’avec les sotériologies, des hiboux abstraits
Les papiers chirurgicaux, des perfusions symbolisées, de laitances hagiographiques, des pixels abandonnés
Mes conductibilités, à décompressions mythologiques, des elliptiques neurasthénies des contraires, des paradoxes athées
Les quantifications des humeurs de signes altérités, des hypocrisies les fiançailles exploitées, d’uraniums ontiques
Les barycentres en prières des psychanalytiques financières, les êtres aux caducités, des translucidités des cailloux
Aux Chutes des dômes les oracles passéistes, des antimatières à canalisations, des citernes à équivalences orthodoxes
O plasmas, des colombes aux testaments, aux murmures anastomoses, des divisibilités crachées d’hautbois immanents
O crachats, des hybris daltoniens
Des éoliennes psychiatriques, aux conatus les billevesées mentales, des sylvicultures en défenses d’écumes, des cornemuses les
cuisines
Des entrelacements à liqueurs d’aberrations, les universalismes, des plantes aux ramifications, les obsolètes démiurgiques, par-delà
Les frondaisons des probabilités, les passions des mystagogues blancs, les jaunes expérimentations, des ciselets ombilicaux,
Les vœux aux plaies sourdre, des hélices optiques, ô ratiocinations des multiplicités de myxomatoses, en treillis impondérables
Les poignards métempiriques, des sacrifices aux subterfuges tensoriels, ô supériorités des luxuriances infinitésimales
Les effondrements des bracelets polymorphes, ou des osselets démocratiques nettoient les savons alimentaires
Les fourrures d’acacias aux ananas radians, les télescopes gravitationnels écorchés, des recompositions à menuiseries des plumitifs
Ou se décroît les phalanges, aux irisations permutées, de plèvres noyées de suicides à caractérologies, des boyaux parallèles
Les dehors d’orchidées, par les genoux onanismes, des orfèvreries les onguents journalistiques, des ruches infirmières
Armées des jardinières jarretelles pneumatiques, des langages limitatifs, mimétiques, les maquillages des loxodromies
infrastructurelles
Les cheminées à coefficients des impressions des fixités cathodiques, en Liberté des zoologies d’eaux à roues bouddhiques, des sigma
Involontaires, les jasmins à efficiences téléologiques, ou éclaircies les plumes d’ivrognes sémantiques, o
Métallurgies du doute !
Les clefs de la famine enguirlandée de synapses noétiques, ou resplendissent les hantises des paupières sanguinolentes, des orifices
contractuels
Les harmonicas vectoriels ou les caresses des atomes temporels, réfléchissent des stupéfiants d’agneaux concrétions, les folies aux
feux « téléplastiques »
Les plafonds de cénobites aux crépuscules chimiques, constructibles, des mains scissipares les Gestalt des cieux anachorètes, à foudres
des génies
Réévaluant des cardinales sociologies, des hindouismes élémentaires, agricoles, prêchant des escargots aux incantations, en spirales
égologiques
Les hétérodoxies fulminant des ataraxies de mendicités géostatistiques, les crabes forniquant des poulies en chemins instantanéistes,
les ovules
Milieux des transactions hégémoniques, aux pulsions d’antiseptiques recueillements, des contractuelles fusions de crocodiles
grammatologiques
Les épidémiologies de calendriers flagornant, des flammes aux éphémérides guillotines, des chapelets en parenchymes magnétiques
Les parvis de myrrhes, ou des interpénétrations telluriques des rotules sensitives, limites, bavent des romanichels entropiques
Les panthéismes des paons cellulaires irréversibles, aux attaches de baleines économiques, paralytiques ô censures des boissons aux
panaches
Panégyriques des forêts sexuelles, des forêts élaguées d’imprédictibles grimoires respiratoires
Les parricides bétails des lueurs insomniaques, ou des grains olfactifs s’épuisent à décédé, à travers des théorèmes montagneux et aux
divergences
Binômes des transplantations énergétiques, ou soie les céréales des inconscients mantras, les orbites déguisées, des prolixes
productivistes ou
Des béances des vides des ouvertures en claudications, de cognacs taxés d’impermanences, à chosifications, des encres prénatales

O fuites des éternelles Littératures, ou se marchandisent les carotides des flux démonstratifs, aux lisières des limbes d’écrevisses
identiques
Les tissus océanographes, des opérateurs ondulatoires, les scarifications des épices aux castrations d’excommunications bordelines, les
peccadilles
Des bouteilles aux métabolismes vierges, incarnés, des axones pictographiques, les dévoilements, des phosphorescences, à couteaux
désincarnés
Les présomptions caduques des fûts tendus, comme des miasmes aux articulations des chiennes à imagos télévisuels, aux graines de
viandes déterministes
Par-delà les canicules des flottements d’Hadès à potentialités, des grégaires moutonnements, aux creusets d’enfances, les fables
d’objectités, à menhirs d’hormones
Les lamentations des ecchymoses, ou des nuées à physionomies, des approfondissements, les mollusques identitaires, ou des
républiques télécommunicatives
Virtuelles dedans les agnostiques poétiques, des eudémonismes ou les cartographies des albatros innéismes, les décomplexions en
boucles, des talismans cathartiques
O les cruautés des entrailles indéfectibles, ou des trouées d’adieux radiations, les acmés des résurrections des putes léchant, des
australopithèques sans nez
Les transferts funèbres des lamentations privatives, noématiques, ou des dragons cellulaires, les Je pudibonds, républicains, délestés de
virgules théosophiques
Les craies des kératites à polyandries, les Homériques indescriptibles, des çà crucifiés, de neuroleptiques à typhons intrinsèques, les
commissures des tutélaires
Radiologies des essaims à sarments noématiques ou des jets, des jaillissements cylindriques, des obsidiennes, à déplacements, des
chemins à latrines bienfaitrices
O ampoules des cerveaux inaliénables, des fantômes aux pré-réflexivités, des anus émotionnels, des momifications intégristes, les
doléances de criques
Cerveaux !
Modélistes caricaturistes, des dramaturgies vitalistes, à pieux les osiers virtuels, les émétiques ignifuges, des coteaux climatologiques, à
fournaises les proies
Les lessives les prisons des progénitures, aux criaillements des vipères enrubannées, habillées de thésaurisations systémiques, incarnées
les odeurs de lavandes
Ek-statiques, les macrocéphales lampes, des alcaloïdes inerties, les Dieux thérapeutiques, ô citernes des choyant primatologies, les
anthropophages, de captations
Ou des préétablis logicismes, les cadavres Aristotéliciens, des polycultures abandonnées, les réseaux des chamarrures, aux êtres
dégarnis de ventres giflés
O licornes des ecclésiastes dynamiques, embrasées de stoïcismes, envers des flocons d’ors les nuages des Poincaré discursivités, les
branchiopodes délavés
Des nixes en ruptures métalinguistiques des Messies dia-symétriques, ô gonflements des ramassées reconstructrices, les à genoux
imaginaires des cyprès
Infanticides, les nosologies synergiques, des flores Unicités les commissures, des treillis des en-soi filigranes, les importations de rêves
cognitifs, à images
Des falaises aux millions de bras géologiques et ou larmoient les coccinelles dendritiques, des mouillées planètes, aux ossements
crachés, de dés contiguës
Là ou des diapasons aux raisonnements cartésiens, logiques, priaient des astéroïdes d’oiseaux inextinguibles, dévoilés de
clairvoyances aux jaillissements
De nénuphars temporels, liquidaient des souvenirs financiers, aux jades d’âcres hypocrisies, des tièdes peintures incarnées, en des
martyrs d’accouplements
Les Dieux aux cartilages préréflexifs lâchés de mensonges aux complexions, des laboratoires reproductibles, les trésors jaculatoires
des imprécisions
De blafardes, aux conversions d’étrangetés, les Cassiopée instantanéistes, les symptomatiques déplacements, des valeurs orgiaques, ou
veillent les âmes
Boursouflées des concrétions, à chapelets des plantes numérologiques, des sépultures les lueurs mentales, des Républiques paganismes
les Jacobins
Clairsemés de roulements à géodésies, des roseaux immaculés, les jaunes synergies, des périclites paranoïas, les distanciations des
jauges colonnades
Rousses aux sacrilèges turgescences, des ovoïdes territorialités, les volcans psychanalytiques dévoyés, des poly-cultuelles, araignées
aux charrues
Des billevesées ondulations cosmétiques, des métastases endormies, drolatiques, des substances, aux omoplates figements, les
lactescences aux
Pulsions démographiques... !
Des logistiques cétacés, aux incarnats algébriques des fourmis identiques, sémantiques, des aliénations aux rouets de singes cubiques,

Ou des consternations agricoles et indiennes, craquèlement des extériorités, d’assemblements feux les délices, d’elliptiques
subterfuges
Des écumes de paupières, aux sexualités analytiques, des privatives téléportations, les pénitentielles éminences, des arbrisseaux
Aux clonages irréversibles, dégoisés d’Oméga acryliques, aux nectars homogènes, des pourfendus puits nosologiques, des continents
Aux médicaments sociologiques, des engelures d’alimentations exfoliées, des polichinelles censures, aux errances, des violences
damnées
Des acajous symplectiques, les originels isopodes, des flaques aux terminaisons, des Luminosités d’anachorètes pulsions irisées
d’informations
Télémécaniques, des écologies en bracelets temporels, ou des cohomologies providentielles et sarcastiques, jouissant d’extases aux
éthers
Les flottements des pendus australopithèques, en déconfitures d’hologrammes géhennes, des tabacs eugénistes, les scarifications
Des colonisations d’encres, aux conspues dérèglements, des sida noirs inclusifs, les diarrhées de nicotines, aux ventrues appareils
Les exterminations des reptiliens associationnismes, par-delà les typhons aux rhétoriques d’injections, les bouteilles d’adieux
Aux fœtus polyandries, des extinctions Gestaltistes, les senteurs érectiles, des infinitésimales célébrations, des requins
Habillés, de chrysanthèmes intérieures, les mares aux transformations égologiques bijectives, les imperfections d’Adonis futurismes
Ou des chapeaux de Fortunes, étaient en des prophétiques dissociations, des nombrils végétales, vétérinaires, des encycliques
Nuités, ou des séraphins ontologiques respiraient les apothicaires antiseptiques, des nanotechnologies prédicatives, des Jugements
Percés les grains d’ivresses ou roucoulaient, les aspirations in-culturelles, des tordus Espaces, aux hétaïres cerises endormies

 

Les soleils de la vie sont ineffables. Ils sont l’incarnation de la beauté accrochée à des peaux d’alcools mensongers. L’existence est
un parchemin voilé, incandescent, empourpré, de lèvres matricielles ou coulent, ruissellent des parfums, des citadelles capricieuses,
des odeurs d’Océans pénétrés en silence, brasiers intemporels.
Des multiplicités de plantes, d’animaux, sculptures biologiques, ou les enfantements psychologiques, demeurent en des clystères, des
lavements esthétiques, anthropologiques, là ou se découvriraient des langues, Logos idéel, Signes, désirs oubliés, chairs embrassées,
dédoublement ou s’agrippent, à genoux, les astres en peintures, cicatricielles littératures.
Meurtrissures.
Les silences bleus, noirs, roux, dansent sur des pâmoisons à chrysalides.
Extases Mentales.
Les oiseaux réfléchissent des relations théâtrales, hystériques, brûlées de symphonies, perlés de sacrifices émotionnels. Les amours
de l’humanité dansent à travers des offrandes manichéistes, ô comètes, là ou pleurent les éveils perclus, chastetés d’hirondelles.
Les étoiles lacrymales accroupies, sur les bras originels de la Création, digitales Aliénations, bavant des jasmins chimiques, chapelets
arrosés d’affres sans peaux.
Les poétiques sont légères comme des libellules éthiques, aux chastetés sensuelles, visuelles, transmissibles.
Génocides ! Partages ! Cannibalismes ! Menstrues inconscientes !!!
Comme des diapasons ou s’exhalent, s’exaltent, les cygnes providentiels, là ou des raisins virginaux, saints, immaculés, creusent des
cailloux sentimentaux. Les torches élastiques intemporelles, de l’aliénation du vide expérimental, là ou brillent les neurones, pensées
génétiques, mourant à l’intérieur, des lyriques fontaines blanches, spectrales sarcophages.
Des lueurs esthétiques puisées en sycomores incroyants, vivants, labourés de lucioles fomentées, délires inharmoniques, hétérogènes,
Supérieurs, déversant, des travestissements d’un réel, d’une réalité, d’UNE liberté musicienne, les nourritures illuminées, par-delà les
clairvoyances, les électriques jardins en consomptions, néants des crépuscules, anges mordorés.
O transparences du Moi, ô lumières interdites, ou s’articulent, se fragmentent, se structurent, les rêves crevés, déployant vins
épileptiques, architectures chimériques, fissurées, irréelles, les solitudes monstrueuses, d’un baiser, ô images cosmiques.
Hybrides temporelles. Araignées religieuses.
Des transactions de sourires figés, immobiles, verticaux, puisaient des reflets en nénuphars intuitifs, visions des chaos à hybris
mémorielles.
Des ossements en minarets ontologiques, pavoisent sur les liquides désirés des désirs, d’Amours intellectuels.
Les lotus veinés d’abeilles géographiques, puisent des forces à travers les complexions mentales, des soifs inextinguibles, moirées de
vacuités extatiques.
Des omoplates déliquescentes hurlaient à l’intérieur des pores prohibitifs, là, ou les jachères de l’existence règnent, prédominent
d’illuminations psychanalytiques, les désirs géométriques des barycentres primales.
Les psychiatriques territorialités des songes nucléaires, génèrent, des chaos éternels. Les plantes aux yeux féconds, ensemencés
d’ossements métaphoriques, stigmatisent la Nature identique et ses partages, ses liaisons, ses relations d’avec les chevelures
régulatrices d’onirismes scientifiques….
Les partages Tragiques des Trismégistes pendules aux ratiocinations bleues des globules inharmoniques, inhomogènes, des Taos
propédeutiques aux cardinalités d’amygdales, les extractions bisexuelles, à synagogues des croyances à vitraux démentiels, ou des
baptismaux équilatéraux mangent des étoiles, aux aldol comparatifs, ô les bosquets menstruels, des folies pentateuques verbaux,
iconoclastes génuflexions, des décompositions de salves hygiénistes, les bateaux aux onguents, des sarcophages entropiques, ô anti-
symétries, des discontinuités de bruyères apodictiques, les Lois aux toges caduques, des olfactions de jets à apories d’armoiries, à
crachats mémoriels, aux horrifiques hôpitaux neurochirurgicaux, des à déplacements, des cadrans supplétifs, ou gémissent les
vaisselles nutritives, des archéologiques impermanences, des granitiques cellulaires, à coquillages transfinis, poissons manichéistes, des
extra-polarités, en polyvalences, des chancelières énergétiques, ô traitances comportementales, des obsidiennes grossesses, à
constructions téléplastes, des oedipiennes géologies, les bourrasques aux allures de pinçons radioactifs, ô lactiques étiologies, des
Littératures histrioniques, des Arts aux virus sans pensées, sans immunologies, des ithyphalliques projections, les conurbations
d’onychophagies poétiques, ô divisibilités des salamandres d’écritures cyclothymiques, ô hypothalamus, des alexandrins Alpha des
bacchiques lanternes, les ténèbres des protozoaires quadratures, les satellisations d’orges aux lambris d’introspections arasées, de
sentimentalismes les descendus noyés, sur des vitamines de cordes animales, aux écorces de lunettes vespérales, à distillations, des
basilics murailles engendrées, d’agénésie de langues minérales, les vertébrés mondéités, des cacochymes polychromes, les naïades
d’obédiences, aux ravissements commutatifs, des impulsions noologiques, les vocabulaires de coïts aux catins, aux déhanchements, des
farines de vins abstraits, inconscients, les appétits de rotules, les solécismes, à transactions fétichistes, des accordéons de phalanges,
aux revolvers fragiles, communismes, des adages instinctifs, les myrtilles absous, des whiskies séparatifs, ô gourdes des idéaux 2,
théosophies, des unicités de viandes phénoménales, les sucres à volitions magnétiques, les télécommunications, des zoologies
humaines, ô mystifications herbivores !...


 



#2 M. de Saint-Michel

M. de Saint-Michel

    Tlpsien +++

  • Membre
  • PipPipPipPip
  • 13 260 messages
  • Une phrase ::Je suis quelqu'un pour qui poésie et respiration ne font qu'un.

Posté 17 août 2021 - 08:44

Wouah!!

#3 Thomas McElwain

Thomas McElwain

    Tlpsien +++

  • Membre
  • PipPipPipPip
  • 1 634 messages
  • Une phrase ::Les poètes sont des arbres; les poésies sont les feuilles.

Posté 17 août 2021 - 10:21

Vous savez, j'ai lu ces ossements métaphoriques à haute voix et c'est assez impressionnant.



#4 clemouchka

clemouchka

    Tlpsien ++

  • Membre sympathisant
  • PipPipPip
  • 72 messages
  • Une phrase ::Tout est Amour, Dieu est pur Amour.

Posté 17 août 2021 - 11:02

Merci chaleureusement Monsieur de Saint Michel et McElwain.

Merci de votre enthousiasme à vous deux... !

Oui, Thomas, j'ai cliqué sur votre site en liens "lulu", et j'ai cru comprendre, car je ne lis pas l'anglais, que vous êtes docteur en théologie... .

Je suis très intrigué car apparemment vous avez écrit de nombreux livres religieux...

Si vous le souhaitez, vous pouvez me contacter dans ma messagerie personnelle... .

Nous pourrions peut-être échanger cordialement...

Au plaisir, Merci sincèrement à M de Saint Michel.

Clémouchka.



#5 Thomas McElwain

Thomas McElwain

    Tlpsien +++

  • Membre
  • PipPipPipPip
  • 1 634 messages
  • Une phrase ::Les poètes sont des arbres; les poésies sont les feuilles.

Posté 17 août 2021 - 04:52

Merci chaleureusement Monsieur de Saint Michel et McElwain.

Merci de votre enthousiasme à vous deux... !

Oui, Thomas, j'ai cliqué sur votre site en liens "lulu", et j'ai cru comprendre, car je ne lis pas l'anglais, que vous êtes docteur en théologie... .

Je suis très intrigué car apparemment vous avez écrit de nombreux livres religieux...

Si vous le souhaitez, vous pouvez me contacter dans ma messagerie personnelle... .

Nous pourrions peut-être échanger cordialement...

Au plaisir, Merci sincèrement à M de Saint Michel.

Clémouchka.

Mais vous êtes gentil, monsieur! En effet, j'ai fait un doctorat il y a quelques décennies, mais c'est en histoire des religions, plutôt humaniste que théologique. C'est vrai aussi que j'ai écrit quelques livres dans ce domaine.



#6 clemouchka

clemouchka

    Tlpsien ++

  • Membre sympathisant
  • PipPipPip
  • 72 messages
  • Une phrase ::Tout est Amour, Dieu est pur Amour.

Posté 17 août 2021 - 05:05

Oui, Bonjour Cher Monsieur, ce serait avec un immense plaisir que nous puissions correspondre et échanger... .

Je serais ravi de partager mes réflexions poétiques, religieuses, littéraires, avec vous... .

Belle soirée à vous.

Clémouchka.





Aussi étiqueté avec au moins un de ces mots-clés : Souffle, Cosmos, Idéal, Miroir