A Bohémia,
Ce que tu dis touche juste car je n'aime pas ce texte, et j’aurais largement préféré qu'il ne s'impose pas à moi.
Il est des mots qui remontent d'eux-mêmes à la surface de l'esprit, sûrement poussés par une colère lente, et éclatent comme des bulles malsonnantes.
Mais ne croyant pas être un poète et ne croyant pas plus avoir une âme, je ne risque pas de la perdre.