L'endroit où je naquis n'est pas un sol inculte.
Ma peau n'est pas une ombre usant jusqu'à mes yeux
Ces lueurs tant rêvées qui humilient les cieux
Où s'ennuage un front qu'un astre seul insulte.
La terre où je naquis n'est pas un champ odieux.
L'embarras de mes mains jusqu'à mon coeur exulte
Le flot...
baccala
Inscrit(e) : 28 mai 2011Hors-ligne Dernière activité : oct. 21 2024 12:13