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baccala

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Hors-ligne Dernière activité : mars 20 2024 07:40

Messages que j'ai posté

Dans la publication : Tendresse, ma mortuaire...

25 septembre 2022 - 05:22

Superbe !

 

Je n'ai pas d'autres mots..

 

En un mot...Merci.

Dans la publication : Toute cette enfance

18 septembre 2022 - 03:39

Je l’aime cet enfant-là...Ce petit d’homme, si silencieux, perçoit et exprime ce que nous avons oublié...

Dans la publication : La terre aura tremblé

18 septembre 2022 - 03:22

Magnétisme des passions qui aimantent la fleur des peaux et le sang de la chair. Deux emprises aux formes jumelles mais au fond contraire qui se heurtent à repousser les limites des convulsions de l’amour infini...Comme un éternel retour...

Dans la publication : A elle, qui m’a tant pardonné...

11 septembre 2022 - 10:31

Je ne cherche plus à tout comprendre de tes poèmes, (mais tu le sais déjà), je me laisse porter par l'étrangeté des mots que tu utilises, qui me projettent dans un autre monde, une autre époque, m'obligent à lire et à relire, et relire encore... 

 

C'est un vrai travail de chercher du sens ! :-). Finalement je m'abandonne à juste ressentir, peu importe la définition exacte du mot, c'est mon imagination qui prend le relais.

 

Et si j'ai trouvé un certain apaisement dans la deuxième strophe (j'adore ce vers "Jusqu'à son aube lente au ballant des reflets" pour ses sonorités et cette aube lente), la troisième m'a tourmentée. Cependant, ce vers m'a conquise "Aux larmes retaillées des lapis-lazuli" avant la lourdeur et l'opacité certainement volontaires du dernier vers qui m'a fait fuir :-).

 

C'est le titre qui m'éclaire le plus sur le sens de tous ces mots...

 

Heureuse de te relire baccala.

 

balila

 

ps : j'avais copié ton texte dans mon post pour l'avoir sous les yeux pendant que j'écrivais, je l'ai effacé ensuite mais il reste ces infos que je ne sais effacer... 

 

Bonjour poétesse,

 

Le temps d’une jeunesse en quête d’absolu et qui se dévoie, capable de tous les extrêmes...Entre l’adulation et le sacrilège, et les bonheurs, et les peines.

 

J’ai rajouté une strophe qui dit plus de la véridicité d'un regard porté sur le sentiment d’avoir échoué.

 

Mais autre époque, autres moeurs...Avec le pardon comme un soulagement. Et j’aime cette magnanimité. 

Dans la publication : A elle, qui m’a tant pardonné...

08 septembre 2022 - 11:16

Je ne sais pas précisément pourquoi, j'ai pensé à Naples.

Un baroque très expressif, ciselé, et sombre.

 

Une surprise d’y déceler une ambiance napolitaine, ville du clair-obscur, entre le Vésuve et sa baie, monumentale et exigüe et si excessive dans ses contrastes...Dorée et crasseuse, religieuse et profane. Baroque, en effet.

 

 

Naples, comme une belle âme...Cette vision me plaît.