Dans leurs ébats, se courbant sous des charmes,
Les nuits où librent, pensant, ils bradaient l'immortalité
Dans les salons, les bars, aux vices des armes
Ils peignaient de leurs espoirs des tableaux déchaînés
Qui dans sa frénésie crains l'haut de là ?
Ne plus mordre en ce quoi le bonheur
Lui apporte l'illusion du Très-Bas
Lors des caprices désirables du malheur
Nostalgie quand dans l'effort d'un éreinte
Je vois au clame d'un journal, l'être moral
Ce pêcheur hypocrite se lassant d'étreintes
N'écrivant que de sa vision : un acte bestial
Je n'éprouve que rage pour ces flatteurs
Ceux qui deviennent, sans doutes par modes
Les nouveaux sourds, qui dans leurs grandes lueurs
Détruisent les cris et réduisent à néant toutes odes
- FlorentM aime ceci