D’une douce douceur angélique.
- Esterina, M. de Saint-Michel et Laurence HERAULT aiment ceci
Posté par Jped - 21 octobre 2024 - 08:46
Posté par Jped - 20 octobre 2024 - 03:15
Constat sans concessions, amer, qui met à mal le sacro-saint mythe de la famille. Douloureux mais nécessaire.
Posté par Jped - 19 octobre 2024 - 03:52
Combat haletant, jusqu’au soulagement final. Un bel effet dramatique.
Posté par Jped - 16 octobre 2024 - 04:23
Ces herbes qui, une fois sèches, se détachent de leur racine et volent en boule au gré des vents, qui prolifèrent dans certaines régions arides des USA (tumbleweeds) m’ont semblé propres à évoquer nos destinées humaines avec, comme vous le soulignez, leurs lumières et leurs obscurités pathétiques. Merci de votre lecture.
Posté par Jped - 13 octobre 2024 - 03:37
Des images d’une grande force qui traduisent le pouvoir fondateur, essentiel de l’amour.
Posté par Jped - 12 octobre 2024 - 06:38
Posté par Jped - 11 octobre 2024 - 04:35
le poème,
comme un avion ou un bateau
en papier,
au pliage rigoureusement précis,
à la symétrie
et à l'équilibre parfaits,
aux mesures exactes
et aux formes pures
après un travail patient,
amoureux,
en vue d'une course
à la trajectoire impeccable
à travers l'eau ou le ciel
vers des horizons rêvés,
des lieux inventés,
loin des rues et des villes
mais un avion ou un bateau
en papier,
qui accroche parfois le rebord
d'un toit
ou est avalé par l'égout,
l'espoir anéanti, d'un coup
et la fin d'un jeu
faussement léger ou puéril,
où il en va, l'air de rien,
pas seulement
d'un bout de papier plié,
ou avec des mots
griffonnés dessus,
mais, tout simplement
et pour tout un jour
ou toute une vie,
du bonheur et du malheur
d'un enfant
dont le jouet est cassé,
d'un homme à l'espoir trahi,
d'un rêve anéanti
Posté par Jped - 11 octobre 2024 - 09:00
Malgré et contre tout, l’amour comme ultime recours … .
Posté par Jped - 11 octobre 2024 - 08:54
Sans doute, mais sans oublier toutefois que l’apocalypse, à la fin des fins, se termine heureusement : la lumière l’emporte sur les ténèbres…
Merci à vous.
Donc, gardons espoir!
Posté par Jped - 10 octobre 2024 - 03:55
Vision d’apocalypse qui atteint pleinement son but : plonger le lecteur dans l’effroi à travers, en particulier, des images terrifiantes.
Posté par Jped - 07 octobre 2024 - 09:51
Les fiancé(e)s du vent que nous sommes n’ont sans doute qu’une seule racine solide : l’amour…
Oui, l’amour, en tant qu’absolu dans l’instant. Et la foi sans doute aussi, pour ceux qui croient.
Alors que la condition humaine, dans sa forme commune, est de l’ordre de l’inachevé.
Posté par Jped - 06 octobre 2024 - 08:22
Posté par Jped - 05 octobre 2024 - 04:03
La fiancée du vent, cette herbe des vastes steppes
et que les tourbillons emportent en rouleaux légers . . .
. . .
ici, les feuillages en feu s'éteignent au sol et ternissent
le miroir des eaux immobiles, au pied des talus humides
le pouillot de Pallas au triple bandeau venu -pourquoi ici? -
de Sibérie, mémoire perdue des ancestrales migrations
Oreste se retournant vers son passé heureux
n'aperçoit que la figure tremblante d'une Eurydice
au crâne rasé, en proie aux affres d'un cancer fatal
le concert de rock en arrêt sur image et, l'instant d'après
en débandade, après les cris, les stridences et la joie,
le coup de gond, le premier claquement de la kalachnikov
l'enfant s'échappant des bras de sa mère, et courant
vers la mer, qui, là-bas, a rejeté un autre -le même- enfant
la fiancée du vent, cette herbe aux racines
si peu profondes, si fragiles ...
en cette fin d'après-midi bleutée, bercée par une musique
d'Ennio Morricone, le cow-boy avance, le soleil dans le dos,
il ne voit pas, pointés sur lui, les canons de fusil sur les toits,
tandis que, sous son arbre, en plein désert, le pendu
debout sur son cheval, les yeux brûlés de sel et de soleil,
attend, la bouche sèche, la balle qui tranchera sa corde
trente et un ans dans le couloir de la mort, et Glen Ford
voulait croire encore, malgré tant d'espoirs déçus, en son destin
le grand adolescent blond erre, depuis dix ans déjà,
dans les sombres et froids couloirs de la maison des fous,
après la trahison d'un soir de sa bien aimée, et elle,
repentie, l'attend dans la chambre désertée, éperdument
un corps frais se glisse furtif sous les draps, auprès de toi,
cherchant refuge dans la chaleur diffuse de ton corps,
s'enroule comme une liane au tronc de l'arbre nu et lisse
l'aube éclaire faiblement le rectangle parfait de la fenêtre,
bientôt viendront peut-être les premiers rayons du soleil
à travers les branches dénudées du vieux frêne en hiver
dont le moindre vent emporte les dernières feuilles,
vers quel inachevé ?
Posté par Jped - 04 octobre 2024 - 06:45
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Posté par Jped - 01 octobre 2024 - 05:56
L’amour comme présence à l’autre.