Etrange récit que ce miroir se mettant à réfléchir différemment.
L'a-t-il choisi ? Le mystère demeure à la lecture, l'objet semblant prendre vie. Personnellement, j'ai eu du mal à l'envisager se libérant de son "moi", peut-être inspiré sur le moment par ces sombres vitraux dont Pierre Soulages orna l'abbaye de Conques.
On le soupçonne plutôt stoïque en développant sobrement et a contrario de sa nature profonde cette appétence quasi-transcendantale pour l'ineffable !