Merci à chacun de me répondre avec toute son intelligence et sa sensibilité...
Amicalement,
Patricia.
- M. de Saint-Michel aime ceci
Posté par patricia moles
- 14 avril 2025 - 07:43
Posté par patricia moles
- 12 avril 2025 - 11:55
Je vous remercie, M de St Michel, d'avoir si bien compris ce que je ressentais.....
Posté par patricia moles
- 12 avril 2025 - 06:26
Malgré ce sentiment de solitude, vous jetez un pont, Emrys, entre vous et votre lecteur.
Votre écriture est solitaire, et,,lancée comme une bouteille à la mer, est recueillie parfois comme un trésor.
C'est mon cas.
Merci pour votre poème.
Patricia.
Posté par patricia moles
- 12 avril 2025 - 06:15
Bonjour Laurence,
Ton poème est délicieux et fait naître en moi une sorte de nostalgie,
Cela me rappelle les années 70 de mes premières amours avec celui qui allait devenir mon mari,
lorsque nous vivions dans une petite chambre sans nous soucier du lendemain....
Comme tu vois ton poème a un pouvoir très évocateur !
Merci pour nous tous,
Patricia.
Posté par patricia moles
- 12 avril 2025 - 05:59
Oui, je connaissais le livre et le combat d'André Brink, mais je ne savais pas les circonstances de sa mort. L'histoire de l'Afrique du Sud, comme celle de beaucoup de pays d'Afrique, est parcourue de douleurs et d'atrocités.
Puisse le 21ième siècle y voir un peu plus de sérénité... Cependant on n'en prend pas le chemin !
Patricia.
Posté par patricia moles
- 12 avril 2025 - 05:43
Bonjour Capitaine,
Encore une de vos merveilles sur laquelle je tombe de bon matin....
et qui est loin de me rendre revêche !
Bonne journée à vous,
Amicalement,
Patricia.
Posté par patricia moles
- 12 avril 2025 - 05:32
PRÉSENCE
Lorsque j’étais vrillée par l’agitation
et le tohu-bohu qui tournait autour de moi….
…Tu étais là, assis paisiblement près de moi.
Lorsque mes jambes fléchissaient et ne
me portaient plus ….
…Tu me tenais par les bras et m’aidait à marcher..
Lorsque mes yeux ne voyaient plus
la différence entre un fil et une ficelle….
... Tu dénouais pour moi les
nœuds de mes chaines.
Lorsque j’avais faim et que je n’étais
plus capable de me nourrir….
…Tu me faisais un repas servi
sur un plateau.
Quand j’avais peur du loup
et de mes ennemis ….
…Tu me berçais dans tes bras et me
rassurais doucement.
Et quand la panique et l’angoisse
m’envoyaient en folie…
…Alors tu venais me chercher
jusque dans mon enfer.
Ô mon amour,
Vie de ma vie,
Sang de mon sang,
N’est-ce pas l’Amour ?
L’éternel Amour ?....
PMH le 13 avril 2025
Posté par patricia moles
- 08 avril 2025 - 10:54
Merci à tous les deux pour vos doux commentaires..... Oui, on peut vivre un amour éternellement ...
Amicalement,
Patricia.
Posté par patricia moles
- 04 avril 2025 - 06:32
Au fil des jours
Chaque jour tu fleuris
Mon chemin de ta douceur,
De ta présence aimante,
Chacun de mes pas.
Comme l’hirondelle dans le ciel
Je célèbre le printemps,
Toutes ces feuilles nouvelles,
Éclatent et m’enivrent de joie.
A nous deux nous avons cent cinquante ans,
Tout ça fait un bail de temps,
La sagesse nous est venue,
Notre amour n’a pas vieilli.
Ton corps m’attire, j’aime ta chaleur,
Je sais que tu m’aimes contre toi ;
Faire l’amour est un bonheur,
Comme je suis heureuse avec toi !
Il y a cinquante ans notre premier baiser,
Me souleva de terre et me mit dans les nuages.
Depuis je ne suis pas retombée,
Toujours là-haut avec toi.
Nous ne mourrons jamais,
Tu seras toujours avec moi,
Dans l’éternité d’un soleil
Naviguant sur une mer d’huile.
PM le 4 Avril 2025
Posté par patricia moles
- 01 mars 2025 - 02:23
Posté par patricia moles
- 25 février 2025 - 12:25
Coup de Foudre
Depuis longtemps je te cherchais,
Chaque jour que Dieu fait,
Je rêvais à toi, endormi
Chaque nuit sous la lune.
Un jour, un jour béni,
Je t’aperçus au marché,
Près d’un étal de fruits :
Tu croquais une pomme.
Oh que tu étais jolie !
Tes dents blanches souriaient
De plaisir et tes yeux noirs de Jay
Se fermaient à demi.
C’était toi, je le savais,
De toutes les fibres de mon être….
Je ne sais comment je fis,
Je tombais à tes genoux.
Te voilà ébahie,
Devant cet homme conquis,
Le ridicule ne tue plus
Tu riais de me voir ainsi.
Le ridicule ne tue plus,
Mais je sais que cet acte
D’amour transi
De Cupidon fit sortir une flèche.
En plein cœur elle te perça,
Et tu me relevas,
Ta bouche sur la mienne me fit
Goûter le fruit exquis.
Depuis ce temps jamais
Mon bonheur ne me quitta,
Tu étais toute ma joie,
Ma vie, mon cœur, et mon esprit.
PMH le 25 Février 2025
Posté par patricia moles
- 21 février 2025 - 09:01
Posté par patricia moles
- 21 février 2025 - 08:49
Posté par patricia moles
- 19 février 2025 - 12:30
Quand la vie va.
Tu mavais dit que tu maimerais toujours.
Jétais la femme de ta vie, jétais ton amour.
Nous devions vivre ensemble le reste de nos jours.
Il ny aurait point de peine, point dobscurité.
Près de toi jétais en sécurité.
Jétais au chaud, par ton corps protégée.
Et puis.
Et puis la vie va, et tu ten allais
Dabord tout doucement, à peine un regret
Un soir tu rentrais tard, et je tattendais
Et puis il arriva que tu ne rentres pas.
Je ne comprenais pas, je ne me doutais pas
Quune autre était là, que ton corps désirait
Et puis
Le paradis se fit enfer, tu maccablais de tout.
Je faisais tout de travers, cétait à rendre fou.
Je perdais pied, tombais à tes genoux.
Jétais si malheureuse, jen perdais la raison.
Mes larmes ne séchaient plus, je perdais lappétit.
Un jour ny tenant plus Javalais du poison.
PMH - mercredi 19 février 2025
Posté par patricia moles
- 19 février 2025 - 10:12
Bonjour Jped,
Oui, je pense qu'aimer quelqu'un quand on est un adulte suffisaient sain, c'est le plus possible laisser à l'être que l'on aime une totale liberté. Cela veut dire accepter qu'il vous échappe, qu'il ait son jardin secret, et qu'il reste avec vous par amour et non pas par devoir ....
Bien sur, quand on fait l'amour, c'est différent .... Pour moi c'est un don mutuel complet, l'union merveilleuse de deux êtres étrangement différents, et cependant semblables...
Merci pour votre lecture,
Patricia.