Merci, Mady, pour ce texte nécessaire et bienvenu...
Portons notre regard au loin, là où nait l'espérance...
Et "secouons la terre de nos sandales " en passant sans s'attarder à la médiocrité.
Amicalement,
Patricia.
- M. de Saint-Michel aime ceci
Posté par patricia moles
- 15 octobre 2025 - 02:24
Merci, Mady, pour ce texte nécessaire et bienvenu...
Portons notre regard au loin, là où nait l'espérance...
Et "secouons la terre de nos sandales " en passant sans s'attarder à la médiocrité.
Amicalement,
Patricia.
Posté par patricia moles
- 15 octobre 2025 - 02:14
Ce n'est pas un poème, c'est une fresque, gigantesque, envolée, une comète ailée .....
J'ai bu vos mots avec une soif infinie.
Oui, cette allégorie de la vie me parle avec "lumière"....
Merci pour ce joyau.
Amicalement,
Patricia.
Posté par patricia moles
- 15 octobre 2025 - 01:58
Bonjour Laurence,
Ton texte est magnifique, et je t'accompagne dans ta recherche spirituelle.....
Merci d'avoir eu "Les mots pour le dire" !
Et quels mots !
Surtout ne cesse jamais d'écrire !
Amitié,
Patricia.
Posté par patricia moles
- 15 octobre 2025 - 01:47
Un très beau poème (j'allais dire : comme d'habitude....),
La nostalgie est de saison, elle nous attrape tous au cœur.....
Surtout en ce moment : les raisons d'espérer sont minces au regard de l'actualité.
Niais vous refleurirez : la vie est faite ainsi .....
En attendant, on peut toujours se cacher sous une couette !
Tendresse,
Patricia .
Posté par patricia moles
- 26 septembre 2025 - 06:20
De votre servante.... Merci pour vos beaux commentaires !
Amicalement,
Patricia.
Merci, M de St Michel, pour votre élogieux commentaire !
Amicalement,
Patricia.
Posté par patricia moles
- 24 septembre 2025 - 07:35
Posté par patricia moles
- 24 septembre 2025 - 05:07
Comme d'habitude, vos poèmes me font rêver...
Cette fois, ce sont les rames des bateaux du Mississippi associées au rythme des bras du nageur qui m’emboitent au loin ....
Merci pour ce joli voyage !
Amicalement,
Patricia.
!
Posté par patricia moles
- 24 septembre 2025 - 04:50
Merci à vous, M de StMihel et Minofabri d'avoir aimé ce poème aussi désespéré.....
Patricia.
Posté par patricia moles
- 23 septembre 2025 - 10:10
Au bord de l’eau
Assise, elle caressait l’horizon d’un regard
Paisible, sur le fronton devant la mer si calme,
Une mer d’huile, sans écume et sans vague,
Tel un lac, couleur verte profonde.
Soleil levant, rasant l’eau de rayons obliques,
Rosés, dorés, féériques.
Des oiseaux chahutaient au dessus de l’eau,
Noirs, dans la blancheur du ciel nouveau.
Et elle rêvait ainsi, les mains posées sur les genoux
Le dos droit comme un i, et la tête haute,
Les pieds ballants, au bord de la jetée,
D’une grâce singulière, silencieuse, tranquille.
Un léger bruit de vent, furtif,
Lui fit tourner la tête.
Un visage si pâle, détaché, sans couleur et sans vie.
pmh le 23/09/2025
fille sur le pont.jpg 242,34 Ko
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Posté par patricia moles
- 21 juillet 2025 - 01:44
Posté par patricia moles
- 14 juillet 2025 - 06:32
Posté par patricia moles
- 12 juillet 2025 - 02:11
BRRRR : ....
Ça donne pas envie !
je préfère ma vie de folle ...
Contre vents et marrées. !
Amitiés,
Patricia.
Posté par patricia moles
- 12 juillet 2025 - 01:56
Votre écriture est toujours aussi légère, sensible, et délicate.
je le répète : vous êtes un véritable écrivain, un poète.
j'aime lire vos vers : ils chantent.
merci pour ce beau poème.
Patricia.
Posté par patricia moles
- 12 juillet 2025 - 01:48
ouais !!!! ça jette !!!!
en français, ça veut dire : superbe !
La vie au présent dans un élément fondamental pour l'être humain : l'eau.
Je m'y croyais dans ma dernière équipée à la piscine ! (Surtout le passage au bord de l'asphyxie....).
J'aime beaucoup votre poème.
Amicalement,
Patricia.
Posté par patricia moles
- 12 juillet 2025 - 01:24
Ta Dame
Et tu m’as dit un jour
Que j’étais ton amour,
J’ai dansé dans ma vie,
Et puis tu m’as tout pris.
Caresse-moi les cheveux,
Embrasse-moi le cou,
Là, dans le creux de l’épaule,
En dessous de l’oreille,
Chuchote à mon âme,
Des refrains changeants,
Je veux des oriflammes,
Des dragons cracheurs de feu.
Grade-moi près de toi,
Sans toi je deviens folle,
Il y a tant de pluie,
Le vent m’a rendue folle.
Je t’adoube chevalier,
Et je serai ta dame,
Tu me diras ta flamme,
Et je t’écouterai…
PMH le 12 juillet 2025

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