Merci gab ! Pauvres serviteurs certes, mais ici le poète ne les tue pas (il voudrait le faire croire oui ), car par l'écriture il les rend immortels. Leur "mort" à la fin est mensonge et ne sert que l'accomplissement du poème. Ses serviteurs restent en fait éternels par leur seule présence sur ces vers.