Comtoise

Bonjour aux anciens qui se souviennent de Comtoise.

Ainsi qu'aux autres poètes.

Je n'écris plus mais garde bons souvenirs de ce site qui n'est pas toujours tendre.

Je me suis mis à la peinture sur toile. J'ai pris ma retraite des lettres.

Amicalement

Special Thanks to Tim

Et clin d'œil à Mister Victorugueux et Mister Sérioscal.

Comtoise

Bergerac

Ceux de France et les francophones

N’ignorent pas Notre belle ville

Cyrano, bien évidemment de Bergerac

Savinien de Bergerac, le philosophe

Savant, écrivain et poète du cosmos

Cyrano figure légendaire, bretteur au grand cœur

A fait la réputation de Bergerac

Notre ville accueille deux statues

A sa noblesse, sur la place de la Myrpe

Et la place Pélissière, elles font l’honneur

De la cité.

Dans la vieille ville, l’été les visiteurs grouillent

Et les spectacles animent les cœurs en vacances

Bergerac par la grâce   d’Edmond Rostand

Et la qualité de son vignoble

Est connu de par le monde

Cette petite cité, charmante dont je vante

La douceur de vivre et la clémence du climat

Vous invite,

Je n’en suis pas un édile mais je me permets

D’en être un ambassadeur

Soyez-y les bienvenus

Le calme

La plaine ne fait aucun bruit

Aujourd’hui un vent léger

Accompagne ma rêverie

J’aurais bien des bricoles

A accomplir mais mes pas

Restent sourds à ma volonté

Je survole au dessus du silence

Avec ce doux vague à l’âme

Qui m’empêche de saisir

Les drames et les tragédies

Pour un moment de calme

On ne peut porter sur son épaule

Plus lourd que  sa propre peine

Et quand à la bise souveraine

On peut claquer un baiser

Ce sont des poids qui deviennent

Plumes pour le plaisir de l’esprit

Les mots qui se disent au vent

Et s’y mélangent créent l’harmonie

D’un passage du temps

Poète

Vraiment, j’ai l’esprit à la liberté

Vraiment, j’ai le sentiment d’éternité

A la croisée des chemins

J’ai suivi l’entreprise de Rimbaud

Je me fous des conventions et des lois

Un peu mafieux dans l’âme

Je ne supporte pas toujours les familles

Et le sirocco me parle comme si c’était un dieu

A la mine mauvaise, je donne le mépris

Car nul besoin pour moi de glaner leur sourire

Et le charme, si vous m’en faites

Sera rendu comme un festin

Poète, un peu, à  l’ancienne des moments de feu

Je suis jeune, j’ai à peine dix-huit ans

Et quand l’heure sonnera je serai nouveau né

Alors vivre reprendra peut-être au même endroit

Chopin

« La musique adoucit les mœurs »

Je n’ai jamais vraiment saisi la formule

A moins que Chopin ne soit fait pour ça

Qu’elle est profonde votre musique Frédérick

Non, je ne vous l’ai pas encore dit, non ?

Et pourtant quel puit de douceur

Un havre, vos nocturnes pour les blessures

Une paix au milieu du corps et du cœur

Un repos une tendresse et un accord

Cent fois à écouter le sens de la vie

Et à ne rien y comprendre, j’ai eu mal

Mais vos notes comme baume, quel bien

Un florilège une maestria vous êtes les sommets

Que nulles autres disciplines ne dépassent

Car le son aux tympans est remède

Lorsqu’il est symbolisé par LA note harmonie

Victor est un copain

Quand je m'adresse aux vieux de tlp

C'est parce  que boëtiane

Cette jeunette (une copine)

M'a rangé dans les "has been"

Non, mais le principal est d'échanger un peu

Merci beaucoup de votre visite

Il reste à se forger ses propres îlots d'amitié

Dehors la furie, l'ennui, la bêtise

L'inconscience et la pollution guettent

Content de lire du Emrys

Amicalement

Avril

Le vent siffle sous la porte

C’est fin avril et les saints

De glace approchent

La gelée dévastatrice de ces jours

Est à craindre aux vents mauvais

La plaine, morne et seule

Laisse à la nature le soin

De l’occuper

Quelques oiseaux, des moindres

Des passereaux, des corbeaux

Des pies vivent

Loin et ennuyés

Que dois-je faire à ce spectacle

Maudire le lieu

L’abandonner

Rejoindre

Les jardins, les oiseaux bigarrés

Voilà

Si je me tourne

Je vois les hommes

Ils dorment, retraités

Et leur joliesse

C’est du passé

Le temps creuse son sillon

A seize heures

Nous te conduisons en terre

Vieille femme décédée

Je sais le manque de toi

Ma merveilleuse muse

Toujours en joie

Le décor à ma vue, je m’en foutais

Quand de tes sourires je me nourrissais

Je sais, tu n’es pas loin

Cachée par des nuages de France

Si tu le veux

Nous irons là où le ciel

Est toujours bleu

Et les fleurs gourmandes

J’ai besoin encore

De tes couleurs de feu

N'oubliez pas le missel.

Quoi, le vert missel ?

Ouch....! Suis soufflé

Géant 

L’homme moderne

Je sais, les partisans de Marine

Aimeraient et regretteraient la mine

Les corons et les fumées de charbon

Le béret basque et la baguette

La franchouille et ses rires gras

Mais l’homme moderne est voyageur

Il rassemble de ses voyages la substantifique moelle

Des cultures du monde,

Il agit dans son pays pour un avenir

De Paix et d’ouverture et non de rejet

Certes très minoritaire devant les élans

Du repli sur son territoire des déçus

Des partis démocratiques et républicains

Il saura montrer dans un geste de perspectives

Les grands avantages du modernisme

Qui bouillonne dans la jeunesse

L’homme moderne de tous les temps

A  su triompher devant les anciens

Tenants d’un passé qui ne tient plus

Il est curieux de constater que les vieux

Du type d’un Jean-Marie freinent à ce point

Tout un continent comme l’Europe

Sauront-ils les aficionados du FN

Ouvrir grand leurs deux yeux

Et prendre la mesure du potentiel

Qu’offrent les visions écologistes de nos lendemains

Godot attendra

superbe.....

Je vous découvre

(je viens pour l'image : p)

 

ils sont tout détachés tes poissons, comtoise

              il n'y a que les algues-cactées qui se mélangent

         pis y'a ce truc annelé, métallique. . . ….. . . .

                  -je ne sais pas si c'est très normal^^

 

en tout cas, tu devrais arroser le mammifère insolite

                  là, en bas à droite^^

                                    < 3

Belle nuit Londonienne

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Et bon week-end

Le calme

La plaine ne fait aucun bruit

Aujourd’hui un vent léger

Accompagne ma rêverie

J’aurais bien des bricoles

A accomplir mais mes pas

Restent sourds à ma volonté

Je survole au dessus du silence

Avec ce doux vague à l’âme

Qui m’empêche de saisir

Les drames et les tragédies

Pour un moment de calme

On ne peut porter sur son épaule

Plus lourd que  sa propre peine

Et quand à la bise souveraine

On peut claquer un baiser

Ce sont des poids qui deviennent

Plumes pour le plaisir de l’esprit

Les mots qui se disent au vent

Et s’y mélangent créent l’harmonie

D’un passage du temps

Expression libre

Si tu m’apercevais

Mystère des mystères

Aurais-tu un geste

Pour celui qui te cherche

Curieuse prétention

Que d’apprivoiser

Le mystère

L’insondable vacance

Des étals de marchands

De religieux

Va pour cet objet

Que mes doigts touchent

Que mes yeux voient

Je le prendrai

Pour creuser un peu plus

Il ya cette harmonie

Dans la nature

Si bien dessinée

Ces géographies

Des pays

Et aussi dans le concert

Des planètes

Cette alchimie des choses

Bien à leur place

Et les hommes alors ?

Comme moi

Et d’autres

Qui ne comprennent

Rien à rien

Seulement que le temps

Les conduits

A l’oubli de leur vacuité

J’ai aimé les choses simples

De l’élan amoureux

Et l’ivresse de deux êtres

Provoquant de la folie

Pour s’extirper

Frénétiquement

Des platitudes