Aller au contenu

 

  (Consulter la liste complète des poèmes)

  (Voir tous les poètes)



- - - - -

Paul Verlaine




Poèmes de cet auteur disponibles à la lecture :

A Albert Mérat, A Charles Baudelaire, A George Verlaine, Agnus Dei, A Horatio, A la louange de Laure et de Pétrarque, A la manière de Paul Verlaine, A la princesse Roukhine, A la promenade, Allégorie, A Madame X..., A poor young shepherd, Après trois ans, Asperges me, Autre (Impression fausse), Avant que tu ne t'en ailles, Ballade en rêve, Ballade à propos de deux ormeaux qu'il avait, Beauté des femmes, leur faiblesse, et ces mains pâles, Bon chevalier masqué qui chevauche en silence, C'est l'extase langoureuse, Cauchemar, Ces passions qu'eux seuls nomment encore amours, Chanson d'automne, Chanson pour elles, Charleroi, Child wife, Circonspection, Clochi-clocha, Colloque sentimental, Compagne savoureuse et bonne, Conseil falot, Crimen amoris, Croquis parisien, Cythère, Dans l'interminable ennui de la plaine, Dans la grotte, Dernier espoir, Donc, ce sera par un clair jour d'été, Dédicace, Ecoutez la chanson bien douce, Ecrit sur l'album de Mme N. de V., Effet de nuit, En robe grise et verte avec des ruches, En sourdine, Et j'ai revu l'enfant unique : il m'a semblé, Femme et chatte, Green, Grotesques, Hier, on parlait de choses et d'autres, Il faut, voyez-vous, nous pardonner les choses, Il ne me faut plus qu'un air de flûte, Il pleure dans mon coeur, Images d'un sou, Impression de printemps, Impression fausse, Intérieur, J'ai presque peur, en vérité, J'allais par des chemins perfides, Je devine, à travers un murmure, Je ne veux plus aimer que ma mère Marie, Je voudrais, si ma vie était encore à faire, Jusques aux pervers nonchaloirs, Jésuitisme, Kaléidoscope, L'allée, L'amour de la Patrie est le premier amour, L'amour par terre, L'angoisse, L'angélus du matin, L'auberge, L'ennemi se déguise en l'Ennui, L'espoir luit comme un brin de paille dans l'étable, L'heure exquise, L'hiver a cessé : la lumière est tiède, L'immensité de l'humanité, L'échelonnement des haies, La bise se rue à travers, La cathédrale est majestueuse, La dure épreuve va finir, Laisse dire la calomnie, La mer est plus belle, La neige à travers la brume, Langueur, La pucelle, La soupe du soir, La vie est bien sévère, Le bruit des cabarets, la fange du trottoir, Le clown, Le faune, Le paysage dans le cadre des portières, Le piano que baise une main frêle, Le pitre, Le poète et la muse, Les chères mains qui furent miennes, Les coquillages, Les faux beaux jours..., Les indolents, Les Ingénus, Le soleil du matin doucement chauffe et dore, Le son du cor s'afflige vers les bois, Le squelette, Les vaincus, Lucien Létinois (I), Lucien Létinois (XXIV), Luxures, Mains, Mais Sa tête, Sa tête !, Malines, Mandoline, Mon rêve familier, Monsieur Prudhomme, Mort !, N'est-ce pas ? en dépit des sots et des méchants, Non. Il fut gallican, ce siècle, et janséniste !, Nous sommes en des temps infâmes, Nouvelles variations sur le Point du Jour, Né l'enfant des grandes villes, On n'offense que Dieu ..., Pantomime, Pantoum négligé, Parfums, couleurs, systèmes, lois !, Paysages Belges, Pensionnaires, Per amica silentia, Pierrot, Pour E..., Pourquoi triste, ô mon âme, Promenade sentimentale, Puisque l'aube grandit, puisque voici l'aurore, Que ton âme soit blanche ou noire, Résignation, Sagesse d'un Louis Racine, je t'envie !, Sappho, Simples fresques, Soleils couchants, Son bras droit, dans un geste aimable de douceur, Sonnet boiteux, Spleen, Sur l'herbe, Sur le balcon, There, Torquato Tasso, Tournez, tournez, bons chevaux de bois, Toute grâce et toutes nuances, Tristia, Tu crois au marc de café, Tu fus une grande amoureuse, Tu n'es pas du tout vertueuse, Un dahlia, Une Sainte en son auréole, Un grand sommeil noir, Un pouacre, Va, chanson, à titre-d'aile, Vendanges, Vers dorés, Vers sans rimes, Voix de l'Orgueil : un cri puissant comme d'un cor, Vous êtes calme, vous voulez un voeu discret, Ô mon Dieu, vous m'avez blessé d'amour, Ô triste, triste était mon âme, Ô vous, comme un qui boite au loin, Chagrins et Joies


VERLAINE
Naissance : 1844
Deces: 1896
Pays: FRANCE


Biographie de PAUL VERLAINE :

Paul Marie Verlaine est un poète français, né à Metz le 30 mars 1844 et mort à Paris le 8 janvier 1896. Après la démission de l'armée de son père, la famille Verlaine s'installe à Paris en 1851.



Bibliographie de PAUL VERLAINE :





En savoir plus (source : wikipedia)




0 commentaire(s)