Poèmes de cet auteur disponibles à la lecture :
A la Belgique, A la gloire des cieux, A la gloire du vent, Aprement, A Pâques, Ardeur des sens, ardeur des coeurs..., Au bord du quai, Au clos de notre amour, l'été se continue, Au loin, Au Nord, Au passant d'un soir, Au Reichstag, Au temps où longuement j'avais souffert, Autour de ma maison, Aux moines, Avec le même amour que tu me fus jadis, Avec mes vieilles mains..., Bien que déjà, ce soir, Cantiques, Celle du jardin, Celui de l'horizon, Celui de la fatigue, Celui du rien, Ceux de Liége, Chanson de fou (1), Chanson de fou (3), Chaque heure, où je songe à ta bonté, Combien elle est facilement ravie, Comme aux âges naïfs, je t'ai donné mon coeur, Comme tous les soirs, Comme à d'autres, l'heure et l'humeur, Conseil absurde, Croquis de cloître (II), Croquis de cloître (III), Dans la maison où notre amour a voulu naître, Des fleurs fines et mousseuses comme l'écume, Dialogue, Dimanche matin, En ce rugueux hiver..., Eperdument, Epilogue, Et qu'importent et les pourquoi et les raisons, Et te donner ne suffit plus, tu te prodigues, Fin d'année, Fleur fatale, Heure d'automne, Heures mornes, Hommage, Hélas ! les temps sont loin..., Il fait novembre en mon âme, Inconscience, Insatiablement, J'ai cru à tout jamais notre joie engourdie, Je dédie à tes pleurs, à ton sourire, Je noie en tes deux yeux mon âme tout entière, Je suis sorti des bosquets du sommeil, Je t'apporte, ce soir..., Kato, L'abreuvoir, L'action, L'amante, L'ancienne gloire, L'arbre, L'aube, l'ombre, le soir, l'espace et les étoiles, L'effort, L'en-avant, L'enclos, L'Est, l'Ouest, le Sud, le Nord, L'Europe, L'hérésiarque, L'immobile beauté, L'orgueil, L'âge est venu, pas à pas, jour à jour, L'âme de la ville, L'étal, L'éternelle lueur, La barque, La bourse, La bénédiction de la mer, La bêche, La chance, La clémence, La conquête, La couronne, La crypte, La cuisine, La ferme, La folie, La foule, La glycine est fanée et morte est l'aubépine, La Grand'Place, La joie, La kermesse, La louange du corps humain, La Lys, La morte, La neige, La petite vierge, La peur, La plaine (I), La révolte, La Saint-Jean, La vachère, La vie, La vie ardente, La vieille, Le banquier, Le bazar, Le beau jardin fleuri de flammes, Le chaland, Le chant de l'eau, Le ciel en nuit, s'est déplié, Le cri, Le forgeron, Le gel, Le glaive, Le lait, Le lierre, Le menuisier, Le meunier, Le meurtre, Le monde, Le moulin, Le ménétrier, Le navire, Le paradis, Le passeur d'eau, Le port, Le premier arbre de l'allée, Le printemps jeune et bénévole, Le péché, Le ramasseur d'épaves, Le roc, Les baisers morts des défuntes années, Les baptêmes, Les barbares, Les barques d'or du bel été, Les brumes, Les cathédrales, Les cierges, Les complaintes, Les cordiers, Les corneilles, Les espaliers, Les fièvres, Les fleurs du clair accueil au long de la muraille, Les fumeurs, Les granges, Les greniers, Les gueux, Les horloges, Les hôtes, Les idées, Le silence, Les jours de fraîche et tranquillé santé, Les malades, Les matines, Les mendiants, Les menus faits, les mille riens, Les meules, Les meules qui brûlent, Les nombres, Le soir tombe, la lune est d'or, Les ombres, Le sonneur, Les pas, Les pauvres, Les paysans, Le spectacle, Les plages, Les plaines, Les promeneuses, Les pêcheurs, Les pêcheurs à cheval, Les Rois, Les routes, Les récoltes, Les saints, Les saints, les morts, les arbres et le vent, Les tours au bord de la mer, Les usines, Les vents, Les vergers de mai, Les vieux chênes, Les vieux maîtres, Les villes, Les voyageurs, Les vêpres, Le vent, Liminaire, Londres, Lorsque s'épand sur notre seuil la neige fine, Lorsque tu fermeras mes yeux à la lumière, Là-bas, Légendes, Ma race, Mes doigts, Mets ta chaise près de la mienne, Minuit blanc, Moine doux, Moine sauvage, Moine simple, Moine épique, Mon ami, le paysage, Mon village, Mourir, Novembre, Oh ! ce bonheur, Oh ! laisse frapper à la porte, Oh ! tes si douces mains..., Parabole, Pauvres vieilles cités, Peut-être, Pieusement, Plus loin que les gares, le soir, Pour nous aimer des yeux, Pour que rien de nous deux n'échappe à notre étreinte, Pèlerinage, Que nous sommes encor heureux et fiers de vivre, Que tes yeux clairs, tes yeux d'été, Rentrée des moines, S'il était vrai, Si d'autres fleurs décorent la maison, Silencieusement, Si morne !, Si nos coeurs ont brûlé en des jours exaltants, Sitôt que nos bouches se touchent, Soir religieux (I), Soir religieux (II), Soir religieux (III), Soir religieux (V), Soir religieux (VI), Sois-nous propice et consolante encor..., Sur la côte, Sur la mer, Sur les grèves, Tout ce qui vit autour de nous, Très doucement, plus doucement encore, Une heure de soir, Une statue (1), Une statue (2), Une statue (3), Une statue (4), Un lambeau de patrie, Un matin, Un soir, Un soir (I), Un soir (II), Un toit, là-bas, Un village, Vers la mer, Vers le cloître, Vers le futur, Viens jusqu'à notre seuil répandre, Viens lentement t'asseoir, Vivons, dans notre amour et notre ardeur, Voici quinze ans déjà que nous pensons d'accord, Vous m'avez dit, tel soir..., Ô la splendeur de notre joie, Ô le calme jardin d'été où rien ne bouge
|
Naissance : 1855
Deces: 1916
Pays: BELGIQUE
Biographie de ÉMILE VERHAEREN :
Émile Adolphe Gustave Verhaeren, né à Saint-Amand dans la province d'Anvers, Belgique, le 21 mai 1855 et mort à Rouen le 27 novembre 1916, est un poète belge flamand, d'expression française. Dans ses poèmes influencés par le symbolisme, où il pratique le vers libre, sa conscience sociale lui fait évoquer les grandes villes dont il parle avec lyrisme sur un ton d'une grande musicalité. Il a su traduire dans son œuvre la beauté de l'effort humain.
Bibliographie de ÉMILE VERHAEREN :
Les Flamandes, 1883. Dans ce poème, il a chanté avec truculence les traditions de sa terre natale.
Les Moines, 1886
Les Soirs, 1887
Les Débâcles, 1888
Les Flambeaux noirs, 1891
Les Campagnes hallucinées, 1893
Les Villes tentaculaires, 1895
Les Villages illusoires, 1895
Les Heures claires, 1896
Les Visages de la vie, 1899
Les Forces tumultueuses, 1902
Toute la Flandre, 1904-1911
Les Heures d'après-midi, 1905
La Multiple Splendeur, 1906
Les Rythmes souverains, 1910
Les Heures du soir, 1911
Les Ailes rouges de la guerre, 1916
Les Flammes hautes, 1917
En savoir plus (source : wikipedia)
|
0 commentaire(s)