Auto –bonhomie
Si tu trahis tes audaces, vigilance en mélopée
La cadence de limace, au profit du temps gâché
Tu seras comme le Cerbère, un gardien à triple face
Geôlier de ton enfer, fait de rigueur et de glace.
Si tu entres dans la danse, celle des pas lourds retenus
Tu n’auras pas la cadence, pour entrer dans l’imprévu
L’intellect au garde à vous, de l’armée des invariances
La passion rouée de coups, par les lois de la prudence.
Moi je veux des chevauchées, dans les plaines de l’inédit
L’insolence comme destrier, au grand dam des interdits
A ma main épée de joie, du culot en bouclier
Des envies au lieu de lois, de l’espoir à dépenser.
Si tu voulais te rallier, à la course à l’avenir
Partager mon odyssée, aux caprices de nos délires
Sur le chemin du hasard, des possibles inattendus
La prudence dans un tiroir, tu serais le bienvenu.
Monique Zomer
21 juin 2010
Si tu trahis tes audaces, vigilance en mélopée
La cadence de limace, au profit du temps gâché
Tu seras comme le Cerbère, un gardien à triple face
Geôlier de ton enfer, fait de rigueur et de glace.
Si tu entres dans la danse, celle des pas lourds retenus
Tu n’auras pas la cadence, pour entrer dans l’imprévu
L’intellect au garde à vous, de l’armée des invariances
La passion rouée de coups, par les lois de la prudence.
Moi je veux des chevauchées, dans les plaines de l’inédit
L’insolence comme destrier, au grand dam des interdits
A ma main épée de joie, du culot en bouclier
Des envies au lieu de lois, de l’espoir à dépenser.
Si tu voulais te rallier, à la course à l’avenir
Partager mon odyssée, aux caprices de nos délires
Sur le chemin du hasard, des possibles inattendus
La prudence dans un tiroir, tu serais le bienvenu.
Monique Zomer
21 juin 2010