
Nos coeurs pourchassés, nos coeurs pourfendus !
Posté par chevalier dupin,
15 décembre 2009
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mes libertinages tendres
Toujours pourquoi, jamais acquis,
Ton coeur sur le qui-vive,
Qui même me suive ;
Pour nous, cela prend-il un sens ?
Toi à qui je pense,
Toi par qui donc je suis,
Dis-moi, viens-je après tes arpèges,
Ta harpe sinon devancé-je ?
Puisque tu me fuis où je te cherche,
Tu me manques, lorsque je tends ma perche,
Tu m'attrapes tandis que je te lâche,
Quand finira notre cache-cache ?
Bras dessus, moi chat noir,
Bras dessous, toi souris blanche,
Nous courons nous autour ;
Mais à qui la manche ?
Et si seulement, à tour de nos rôles,
Nuit et jour, à moitié drôles,
A rien n'y entendre, sans le voir,
Se profilait-là, le parfait amour ?
Ton coeur sur le qui-vive,
Qui même me suive ;
Pour nous, cela prend-il un sens ?
Toi à qui je pense,
Toi par qui donc je suis,
Dis-moi, viens-je après tes arpèges,
Ta harpe sinon devancé-je ?
Puisque tu me fuis où je te cherche,
Tu me manques, lorsque je tends ma perche,
Tu m'attrapes tandis que je te lâche,
Quand finira notre cache-cache ?
Bras dessus, moi chat noir,
Bras dessous, toi souris blanche,
Nous courons nous autour ;
Mais à qui la manche ?
Et si seulement, à tour de nos rôles,
Nuit et jour, à moitié drôles,
A rien n'y entendre, sans le voir,
Se profilait-là, le parfait amour ?