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Terrible remue-message !
Posté par chevalier dupin,
24 janvier 2010
·
660 visite(s)
mon fourre-tout fou
Un glissement de torts à travers le sol,
Agonisante et triste une foule,
De soulèvements impopulaires,
Les tremblements d'un territoire qui se défoule ;
Parce que notre mère pâture se désherbe folle,
De nouveau, la planète m'atterre,
Est tombeau monde à ciel ouvert !
Des êtres hier déjà faillibles,
Vont désormais au long du gouffre.
De manière indicible,
Entre leurs reliefs faillés,
Les survivants souffrent,
Epuisent des forces dernières à fouiller,
A Remuer le ciel et l'enfer !
Consternés par les naissants pillards,
Parmi les décombres constellés de victimes,
Concernés de toutes parts,
Assourdis par l'orfraie criante des abîmes
Transformant les pâles figures,
Répondant aux râles venus des fissures,
Des voeux du ciel, brûlent les coeurs des frères !
Pour les myriades d'étoiles tombées au trou noir,
Telle est visée sous le feu de mon regard,
La conscience humaine parfois spectaculaire,
Afin qu'aux entrailles luise l'écorce nouvelle,
Que s'y puise aux sources d'autres existences
Aux fonds des proches où perce l'espérance,
Du creux de leur terre, le renouveau du ciel !
Agonisante et triste une foule,
De soulèvements impopulaires,
Les tremblements d'un territoire qui se défoule ;
Parce que notre mère pâture se désherbe folle,
De nouveau, la planète m'atterre,
Est tombeau monde à ciel ouvert !
Des êtres hier déjà faillibles,
Vont désormais au long du gouffre.
De manière indicible,
Entre leurs reliefs faillés,
Les survivants souffrent,
Epuisent des forces dernières à fouiller,
A Remuer le ciel et l'enfer !
Consternés par les naissants pillards,
Parmi les décombres constellés de victimes,
Concernés de toutes parts,
Assourdis par l'orfraie criante des abîmes
Transformant les pâles figures,
Répondant aux râles venus des fissures,
Des voeux du ciel, brûlent les coeurs des frères !
Pour les myriades d'étoiles tombées au trou noir,
Telle est visée sous le feu de mon regard,
La conscience humaine parfois spectaculaire,
Afin qu'aux entrailles luise l'écorce nouvelle,
Que s'y puise aux sources d'autres existences
Aux fonds des proches où perce l'espérance,
Du creux de leur terre, le renouveau du ciel !
