
Dans le perpétuel mouvement d'une impasse
Posté par chevalier dupin,
14 février 2010
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mon fourre-tout fou
A l'issue tragique d'un dédale de nuit,
Aspiré par un nouveau labyrinthe,
Chaussant mes pas dans des lacets d'ennuis,
Je me lève à la traîne de la ville !
D'abord allée des aurores qui ne s'évitent,
Mon corps vertigineusement s'éreinte,
Puis par le coupe-gorge d'une aube hémophile,
Réalise que le rêve à soi se délite !
Par le travers artériel d'une nébuleuse,
Me découvrant dans une voirie peu soyeuse,
J'entrebâille mes yeux au rond-point du soleil,
Je débouche, moi et ma voix, place du réveil !
Ainsi désemparé, toujours je déambule,
Jusqu'au boulevard du crépuscule,
Me demandant par quoi je vais passer,
Avant de lire l'épitaphe de ma route !
Enfin me détournant du trajet quotidien,
A l'approche de l'avenue de demain,
Je crie malgré l'urbanisme d'un dernier doute :
"Dieu qu'interminables sont mes rues de Journée !"
Aspiré par un nouveau labyrinthe,
Chaussant mes pas dans des lacets d'ennuis,
Je me lève à la traîne de la ville !
D'abord allée des aurores qui ne s'évitent,
Mon corps vertigineusement s'éreinte,
Puis par le coupe-gorge d'une aube hémophile,
Réalise que le rêve à soi se délite !
Par le travers artériel d'une nébuleuse,
Me découvrant dans une voirie peu soyeuse,
J'entrebâille mes yeux au rond-point du soleil,
Je débouche, moi et ma voix, place du réveil !
Ainsi désemparé, toujours je déambule,
Jusqu'au boulevard du crépuscule,
Me demandant par quoi je vais passer,
Avant de lire l'épitaphe de ma route !
Enfin me détournant du trajet quotidien,
A l'approche de l'avenue de demain,
Je crie malgré l'urbanisme d'un dernier doute :
"Dieu qu'interminables sont mes rues de Journée !"