
Contre doutes, l'ébène de l'âme !
Posté par chevalier dupin,
24 mars 2010
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mon fourre-tout fou
Malgré le jeune trouble qui m’assaille,
Parmi ma vieille armée d'ombres,
Malgré cet ost hérité,
Qui me met les idées en bataille,
Mes pensées malsaines en nombres,
Au psychisme d’une sombre forêt,
Se sauvent, s’entaillent à la hache !
A cheminer par une bouche à feu,
Et à cent mots grumeleux,
Par delà, l’esprit austère,
Mon papier se mâche.
Car sous la dent gardée, j’ai ma scie,
Pour débiter dure la vie,
M’en payer douce, une tranche !
Las, j’aime assis sur la branche,
Couper le verbe sous mes pieds,
Lancer des phrases tronquées,
Du genre à tomber par terre,
Jeter le dimanche après,
La semaine qu’on m’a cognée.
Alors attention « timber » !
Gueulant aux abois, le poète abat ses vers !
Parmi ma vieille armée d'ombres,
Malgré cet ost hérité,
Qui me met les idées en bataille,
Mes pensées malsaines en nombres,
Au psychisme d’une sombre forêt,
Se sauvent, s’entaillent à la hache !
A cheminer par une bouche à feu,
Et à cent mots grumeleux,
Par delà, l’esprit austère,
Mon papier se mâche.
Car sous la dent gardée, j’ai ma scie,
Pour débiter dure la vie,
M’en payer douce, une tranche !
Las, j’aime assis sur la branche,
Couper le verbe sous mes pieds,
Lancer des phrases tronquées,
Du genre à tomber par terre,
Jeter le dimanche après,
La semaine qu’on m’a cognée.
Alors attention « timber » !
Gueulant aux abois, le poète abat ses vers !
Vous avez l'art de jongler avec les mots, mais pourquoi ce pessimisme à longueur de vers et à coup de rimes ?
Sincèrement,
KATY60