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Amant, je ne tiens qu'à ton fil !
Posté par chevalier dupin,
28 avril 2010
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mes libertinages tendres
Affalé, alangui sur ton joli devant,
Ou homme de tes reins,
Sous ta cendre Efrit d'embûches,
Quand tu me couves ou de beauté m'oins,
Puis qu'émincée sous ta caresse,
S'enlève jusqu'à moindre de mes pluches ;
Grâce à la tienne, à son sain frottement,
Appelé au ciel, je sauve ma peau épaisse !
Analphabète à bonds d'yeux vers les amours,
Moi qui vois brûler tes zèles,
Par la grandeur, laissant,
Je me ronge petit, athée coté,
Je loue tes atours printemps été,
Et me purifiant à toi sans méfiance,
Pieusement me fraye chemin de velours,
Dans l'onguent d'enfer de ton alliance !
Ours enfantin dans ton drap blanc,
Pantin d'abandon, drille soyeux,
Tandis qu'à la quinconce de tes doigts,
Dans des cordes de joies,
Tes mains me ficèlent,
Je joue la pantomime du malicieux,
Lorsque enfin affilié doux à l'ardent,
Je deviens pour toujours, ton Peluchinelle !
Ou homme de tes reins,
Sous ta cendre Efrit d'embûches,
Quand tu me couves ou de beauté m'oins,
Puis qu'émincée sous ta caresse,
S'enlève jusqu'à moindre de mes pluches ;
Grâce à la tienne, à son sain frottement,
Appelé au ciel, je sauve ma peau épaisse !
Analphabète à bonds d'yeux vers les amours,
Moi qui vois brûler tes zèles,
Par la grandeur, laissant,
Je me ronge petit, athée coté,
Je loue tes atours printemps été,
Et me purifiant à toi sans méfiance,
Pieusement me fraye chemin de velours,
Dans l'onguent d'enfer de ton alliance !
Ours enfantin dans ton drap blanc,
Pantin d'abandon, drille soyeux,
Tandis qu'à la quinconce de tes doigts,
Dans des cordes de joies,
Tes mains me ficèlent,
Je joue la pantomime du malicieux,
Lorsque enfin affilié doux à l'ardent,
Je deviens pour toujours, ton Peluchinelle !
