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Mascarade d'un temps !
Posté par chevalier dupin,
31 octobre 2010
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mes sonnets de jour mes sonnets de nuit
Au sortir des flammes qui s'embrasent à l'arbre,
Contre l'âme duquel, je laisse maître en terre,
Et puisque le ciel, ne s'abreuve plus de vert,
D'un cachet de rouille, au sol, veiné dans son marbre,
Tant que n'apparaissent, les démons de l'hiver,
Je scelle mon pacte, anobli de pourriture.
Puis je caresse, sous mon pied bot, la luxure,
Des feuilles faciles, qui craquent pour l'enfer !
Quant aux folles du vent, enfourchant sa monture,
Du purgatoire, elles ne courront l'aventure,
Car la morte saison, de souffles, ne libère,
Que ceux des hurlements, de mon ami Cerbère.
Vive Halloween qui fait l'épouvante d'Automne,
Ou Diable des bois, me confondre avec le faune !
Contre l'âme duquel, je laisse maître en terre,
Et puisque le ciel, ne s'abreuve plus de vert,
D'un cachet de rouille, au sol, veiné dans son marbre,
Tant que n'apparaissent, les démons de l'hiver,
Je scelle mon pacte, anobli de pourriture.
Puis je caresse, sous mon pied bot, la luxure,
Des feuilles faciles, qui craquent pour l'enfer !
Quant aux folles du vent, enfourchant sa monture,
Du purgatoire, elles ne courront l'aventure,
Car la morte saison, de souffles, ne libère,
Que ceux des hurlements, de mon ami Cerbère.
Vive Halloween qui fait l'épouvante d'Automne,
Ou Diable des bois, me confondre avec le faune !
L'éloge funèbre de l'automne et son pesant d'outré se mêlent,
pour notre plus grand plaisir!
Amicalement.
hasia