
Pour mieux ne plus te voir !
Posté par chevalier dupin,
17 avril 2011
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mon fourre-tout fou
Pour mieux ne plus te voir !
L'iris privé d'une soeur à ouvrir,
Sauf ta fleur, à la rosée du chagrin,
Mon champ de vision, crève de mourir,
Où ta clôture de vie, le restreint !
Alors, parce que tristes en poussières,
Par la violence, moulues à ton grain,
Tombées comme larmes, sont mes oeillères,
Cache-misère d'amour cristallin,
Si lourdes que soient mes paupières,
Peinées d'eau, des phares voisins,
Moi, pupille de tes lumières,
De vue, me troublé-je en tous points !
Rompu à n'observer, la moindre règle,
Désormais qu'au noir, fond de tes yeux d'aigle,
Elargi à la prunelle des miens,
Je me rétracte, hors des regards gardiens !
Enfin libre aperçu, aux ténèbres enclin,
Je prie qu'à l'oubli, tu me pardonnes la main,
Qui, à ta fenêtre, la croisée des chemins,
Ferme un jour, de peur, de la pluie des lendemains !
Source: Pour mieux ne plus te voir !
L'iris privé d'une soeur à ouvrir,
Sauf ta fleur, à la rosée du chagrin,
Mon champ de vision, crève de mourir,
Où ta clôture de vie, le restreint !
Alors, parce que tristes en poussières,
Par la violence, moulues à ton grain,
Tombées comme larmes, sont mes oeillères,
Cache-misère d'amour cristallin,
Si lourdes que soient mes paupières,
Peinées d'eau, des phares voisins,
Moi, pupille de tes lumières,
De vue, me troublé-je en tous points !
Rompu à n'observer, la moindre règle,
Désormais qu'au noir, fond de tes yeux d'aigle,
Elargi à la prunelle des miens,
Je me rétracte, hors des regards gardiens !
Enfin libre aperçu, aux ténèbres enclin,
Je prie qu'à l'oubli, tu me pardonnes la main,
Qui, à ta fenêtre, la croisée des chemins,
Ferme un jour, de peur, de la pluie des lendemains !
Source: Pour mieux ne plus te voir !