Violons nous sur un air de toi !

Quand jeu me tutoie,
Tu me suis au pas appât.

Quand j'ai cheminée avec toi,
Parfois ange en suie là, m'essuie las,

Mais lorsque tu es au bout de mon Elle,
Quoique queue de comète, je te laisse en ciel,

Vôtre devenu tien, toujours suis-je hanté sanglier à soies,
Vautré dans laie-fantôme de tes draps.

Ton moi vite de nouveau sera tuile au bout de mon toit,
Où hâte tuée met ça, puis remettra ?!

Houx bien je vêts, alors j'irais pendu à mon âme volage,
If-haie y fera ton foulard de soi, pour toi sauvage.

La nuit tous les "tcha-tcha" chats,
Resteront sans doute grivois.

Les nôtres, ronds se nouent et se noueront démons,
En lacets sans jamais pourtant, doubles haineux,

Des leurres pour tromper nos voleurs dessous,
Chats par deux, chapardeurs malgré nous.

De vil oint, demain je, filerais et me défilerais encor de toi,
Car si je suis rouet, endormie tu n'es belle de bois !