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Familiale peau lisse des moeurs !
Posté par chevalier dupin,
22 février 2009
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mes poèmes filiaux ou enfantins de pêche
Pas un jour ne se passe,
Sans que papa me mange de bisous !
A mille reprises, il m'embrasse,
Quand il a faim de mes joues !
J'en suis souvent ravie,
Je sais, en effet doux, comme lui,
Que j'ai si bon goût !
Cependant à sa façon parfois,
D'embrassade, il me boit,
A la démonstration d'un baiser-vampire !
Mais migrateur, le trouvant à mon cou,
Je me plains qu'il me pique, voire pire !
Puisque à son régal de rasades d'affection,
Ne se rase-t-il toujours, dru le menton !
Comme maintenant, lorsque son poil me gratouille,
Ne me doutant de ce que ça a d'effrayant
Je l'envoie alors câliner une autre bouille,
Au hasard, celle de ma chérie maman !
Mais c'est horrible ! Car je vois qu'à pleine bouche,
Bavant au dîner d'étrange sainte-nitouche,
Sa complice d'amoureuse fringale,
Papa s'est changé en ventouse cannibale !
Sans que papa me mange de bisous !
A mille reprises, il m'embrasse,
Quand il a faim de mes joues !
J'en suis souvent ravie,
Je sais, en effet doux, comme lui,
Que j'ai si bon goût !
Cependant à sa façon parfois,
D'embrassade, il me boit,
A la démonstration d'un baiser-vampire !
Mais migrateur, le trouvant à mon cou,
Je me plains qu'il me pique, voire pire !
Puisque à son régal de rasades d'affection,
Ne se rase-t-il toujours, dru le menton !
Comme maintenant, lorsque son poil me gratouille,
Ne me doutant de ce que ça a d'effrayant
Je l'envoie alors câliner une autre bouille,
Au hasard, celle de ma chérie maman !
Mais c'est horrible ! Car je vois qu'à pleine bouche,
Bavant au dîner d'étrange sainte-nitouche,
Sa complice d'amoureuse fringale,
Papa s'est changé en ventouse cannibale !
