Comme alternent les jours et les nuits, nous ne faisons que perdre et retrouver nos raisons de vivre, jusqu’à l’heure de la dernière trajectoire, quand il n’y a plus de spirale, ni d’ellipse, en cet instant des confins, que traduit éloquemment le spectacle d’un arbre exténué, qui ne donne plus de frui...

michelconrad' Blog
Être aimé, cette grâce,
tu me l’as refusée,
je vis sans elle, hélas,
si loin de ta beauté,
tu me l’as refusée,
cette joie nonpareille,
je vis sans elle, hélas,
cette unique merveille,
cette joie non pareille
qui éclaire l’espace,
cette unique merveil...
tu me l’as refusée,
je vis sans elle, hélas,
si loin de ta beauté,
tu me l’as refusée,
cette joie nonpareille,
je vis sans elle, hélas,
cette unique merveille,
cette joie non pareille
qui éclaire l’espace,
cette unique merveil...
Absorber le poème, comme on le fait d’un grand verre d’eau fraîche, au beau milieu de l’été. Renouveler le geste, tant que le soleil est haut dans le ciel. Au crépuscule, relire le poème et y chercher, comme des photons dans la nuit, les paillettes de lumière que, forcément, il recèle. Au peti...
Dans les arbres du jardin, les oiseaux crient, se chamaillent. Il y a du vent. Les feuilles jonchent le sol. Ici aussi, mon cœur me parle de toi, et, sur un carnet qui ne me quitte pas, j’écris des mots en me disant qu’ils sont, aussi, des graines qui dorment dans l’attente d’un éternel printemps.
1...
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Quand viennent
toutes les tristesses
en pluies, en torrents,
c’est la poésie
qui retient le fil
de ce cerf-volant,
la vie.
15/10/18
toutes les tristesses
en pluies, en torrents,
c’est la poésie
qui retient le fil
de ce cerf-volant,
la vie.
15/10/18
De la même façon qu’on écrit toujours pour se différencier de tous ceux qui ont écrit avant nous et pour leur répondre, en quelque sorte, on écrit, aussi, dans l’espoir d’être aimé, – mais, pour la libellule du cœur, l’amour est une âpre falaise.
...
...
Les arbres dorés
de l’automne,
tu les portes,
aussi, en toi,
– ils t'éclairent
de leurs soleils.
15/10/18
de l’automne,
tu les portes,
aussi, en toi,
– ils t'éclairent
de leurs soleils.
15/10/18
Je vous vois
de la fenêtre des possibles,
je n’ai
pas d’autre embarcation
que les mots,
je suis
sans autre gouvernail
que le rêve.
17/10/18
de la fenêtre des possibles,
je n’ai
pas d’autre embarcation
que les mots,
je suis
sans autre gouvernail
que le rêve.
17/10/18
Pour écrire un poème,
mêler les mots avec un peu d’amour,
attendre que l’amour prenne toute la place
-- ce qu’il sait si bien faire ! --
et ce levain de mots
le mettre à fermenter au bord de la fenêtre,
attendre que se lève
une image légère,
la pl...
mêler les mots avec un peu d’amour,
attendre que l’amour prenne toute la place
-- ce qu’il sait si bien faire ! --
et ce levain de mots
le mettre à fermenter au bord de la fenêtre,
attendre que se lève
une image légère,
la pl...
Il ne faut rien perdre
de la mer immense,
du jour radieux
et de ce passant sublime,
l’amour.
14/10/18
de la mer immense,
du jour radieux
et de ce passant sublime,
l’amour.
14/10/18
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