Le temps devient, un jour, le temps qui reste . Du haut de la vigie des mots, mieux que de tout autre point d’observation, on prend conscience que diminuent les pages de l’éphéméride. Ce temps qui fut un océan, que l’on a observé du haut d’une falaise, chaotique, grondant, radieux, sans limites, est devenu...

michelconrad' Blog
Des mondes qui s’effondrent :
quand un être s’en va,
la douleur est profonde
et le silence est là,
quand un être s’en va,
s’enfuit un univers,
et le silence est là,
plus vite que l’éclair,
s’enfuit un univers,
que soient douces leurs tombes,
pl...
quand un être s’en va,
la douleur est profonde
et le silence est là,
quand un être s’en va,
s’enfuit un univers,
et le silence est là,
plus vite que l’éclair,
s’enfuit un univers,
que soient douces leurs tombes,
pl...
Dans l'au-delà du miroir,
tous les siècles sont poussière,
aimer est le seul savoir,
l'âme est la seule lumière,
tous les siècles sont poussière,
l'espace n'a plus de sens,
l'âme est la seule lumière,
aimer est la quintessence,
l'espace n'a plus de sens,
l'amour est le s...
tous les siècles sont poussière,
aimer est le seul savoir,
l'âme est la seule lumière,
tous les siècles sont poussière,
l'espace n'a plus de sens,
l'âme est la seule lumière,
aimer est la quintessence,
l'espace n'a plus de sens,
l'amour est le s...
Je ne suis d’aucune Académie, je suis de la terre des humbles. Dans mon enfance, le seul livre, à la maison, était « Les fêtes Galantes » : encore ai-je mis longtemps à comprendre qu’il avait été le laisser-passer de mon père pour se forger une âme de séducteur, – lui qui chanta...
Comme deux métaux
s’entrechoquent,
l’oiseau salue le jour
sur deux notes.
24/2/18
s’entrechoquent,
l’oiseau salue le jour
sur deux notes.
24/2/18
A l’infini d’aimer,
sous le soleil des mots,
pour le cœur assoiffé,
il n’est qu’une seule eau,
sous le soleil des mots,
où gît le merveilleux,
il n’est qu’une seule eau,
la couleur de vos yeux,
où gît le merveilleux,
tout au cœur de l’...
sous le soleil des mots,
pour le cœur assoiffé,
il n’est qu’une seule eau,
sous le soleil des mots,
où gît le merveilleux,
il n’est qu’une seule eau,
la couleur de vos yeux,
où gît le merveilleux,
tout au cœur de l’...
Comme je sortais du bâtiment où j’avais passé l’après-midi, des milliers d’oiseaux faisaient, dans le ciel, en poussant des cris, un ballet d’allégresse démesuré. Ils rendaient au Créateur la joie du printemps qui vient, – comme nous lui rendrons, un jour, cette vie qu’il nous a d...
Il arrive, parfois,
malgré le vent glacé,
que la forme d’un arbre
soit un « alléluia ».
22/2/18
malgré le vent glacé,
que la forme d’un arbre
soit un « alléluia ».
22/2/18
Il n’y a que l’amour inassouvi qui puisse conduire l’âme jusqu’au soleil des mots. De ce point de vue, le malheur n’est plus de ne pas être aimé, mais de ne pas aimer.
22/2/18
22/2/18
On ne déchiffre une œuvre qu’au travers du prisme de notre histoire, on l’investit de nos espérances, lui prêtant le pouvoir de nos héler, sur le chemin de la vie.
22/2/18
22/2/18
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