Posté par michelconrad,
15 février 2018
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L’aulne a grandi, à mon insu, au bord de la rivière. Un jour de grande crue, il y a quelques années, j’ai prêté attention à lui. Frêle, minuscule, il luttait contre la violence du courant qui le faisait plier. Je crus que la rivière allait l’arracher, le transporter comme tout ce qu’elle arra...
Posté par michelconrad,
14 février 2018
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Dans les films anciens, on revoit les hologrammes de la jeunesse des acteurs qui ont prêté leur présence, leur voix aux rôles qu’on leur a assignés et qui, aujourd’hui, sont très âgés, ou qui ne sont plus.
Au-delà de l’intrigue, qui nous semble, parfois, extraordinairement désu...
Posté par michelconrad,
12 février 2018
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Une vie sans amour, qu’est-ce d’autre qu’un feu éteint, une nuit sans lever du jour, une conversation de « Café du Commerce », une enveloppe vide, un roman de kiosque de gare , une espérance sans écho, un poème sans poésie ?
Posté par michelconrad,
10 février 2018
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Au soleil couchant, souvent surgissent, dans le ciel, des camaïeux, où le bleu se teinte de rose, et inversement, puis tout, brusquement, sans que nous nous en rendions compte, fusionne et nous savons qu’au cœur de tout cela, très loin, en face de nous, il y a un feu plus ardent que tous les feux de la terre et auquel nous devons...