Chaque instant est, sur l’océan des jours, une barque fragile, que des récifs peuvent briser, – et c’est pourtant cela, l a vie, notre vie. Nous pouvons vivre aussi, brièvement, par la grâce de la mémoire, dans les lueurs tremblantes du chemin accompli, et, par la vertu de l’imagination, dans les chemins...
michelconrad' Blog
Une rose, en mon cœur,
ne pourra plus périr,
pour mon plus grand bonheur,
pour mon plus grand souffrir,
ne pourra plus périr,
l’amour pour une femme,
pour mon plus grand souffri r ,
pour la plus douce flamme,
l’amour pour une femme,
pour la plus douce fleur,
pour la plus douc...
ne pourra plus périr,
pour mon plus grand bonheur,
pour mon plus grand souffrir,
ne pourra plus périr,
l’amour pour une femme,
pour mon plus grand souffri r ,
pour la plus douce flamme,
l’amour pour une femme,
pour la plus douce fleur,
pour la plus douc...
« La rose est sans pourquoi, elle fleurit parce qu’elle fleurit, n’a souci d’elle-même, ne cherche pas si on la voit ». (Angelus Silesius, 1624-1677).
On pourrait répondre à Silesius que des découvertes récentes de spécialistes de neurosciences permettent de dire que les arbres, par exemp...
On pourrait répondre à Silesius que des découvertes récentes de spécialistes de neurosciences permettent de dire que les arbres, par exemp...
L’automne est un lent récit, celui d’une combustion douce, d’une agonie silencieuse. Je sais bien qu’il y a la parabole de la Bible : « si le grain ne meurt ...». En attendant, cette mort lente, pour le promeneur qui observe le paysage, semble une anamorphose de la vie.
...
...
Il est des moments
que traverse
toute la lumière du monde .
5/10/18
que traverse
toute la lumière du monde .
5/10/18
Temps retracé,
vivant passé :
– la solitude
me fait la guerre,
m’est un enfer
rude et sévère,
brûle mon âme
pour une femme
non oubliée,
amour perdu,
amour vaincu,
amour blessé.
4/10/18
vivant passé :
– la solitude
me fait la guerre,
m’est un enfer
rude et sévère,
brûle mon âme
pour une femme
non oubliée,
amour perdu,
amour vaincu,
amour blessé.
4/10/18
Il faut oublier tout savoir, n’être ni « poète », ni « peintre », ni « photographe », prendre par la main la Beauté, l’inviter dans le petit théâtre de l’image, sur la tendre rivière de la phrase. Les soleils obliques sont nos complices, l’omb...
Cette lueur
qu’au milieu de la nuit
tu attends de l’aurore,
elle est, déjà, en toi,
et dans ton coeur battant,
dans cet amour qui est
la flamme de ta vie
et dont aucune nuit
ne sera l’éteignoir.
2/10/18
qu’au milieu de la nuit
tu attends de l’aurore,
elle est, déjà, en toi,
et dans ton coeur battant,
dans cet amour qui est
la flamme de ta vie
et dont aucune nuit
ne sera l’éteignoir.
2/10/18
« J'ai tendu des cordes de clocher à clocher ; des guirlandes de fenêtre à fenêtre ; des chaînes d'or d'étoile à étoile , et je danse. » (Rimbaud) : la vie de certains d’entre nous ressemble à cette phrase. Il est des cœurs qui dansent, des cœurs qui tournent comme de...
C’est le chagrin qu’il faut broyer pour en extraire l’or des mots et pour qu’ils volent, comme oiseaux, vers la contrée de son amour, pour que résonne, dans le silence, l’écho infime de sa voix.
27/9/18
27/9/18
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