Tu avais cru que l'essentiel c'étaient les mots   Finalement nous sommes toujours seuls
								
								
								
							
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										Jardin, avant le jour : un oiseau  s'envole en criant.   Arbres, aux ramures nues.   Au  loin : les lumières de la ville.
								
								
								
							
						
								
										Un site internet me demande ma "biographie". J'essaie : "Né le..." --le stylo me tombe des mains.     Il n'y a que mes poèmes qui disent ce que j'ai tenté d'être.
								
								
								
							
						
								
										Faire place nette dans sa vie comme sur le plat de la main,   puisqu'il faut, un jour,  expier nos abandons, nos reniements !
								
								
								
							
						
								
										Soleil de novembre sur le jardin où mon père et ma mère ne viendront plus   Les bourgeons du magnolia n'ont aucune chance d'éclore comme certaines de nos rêveries qui resteront...des rêveries   Dans l'allée centrale, demeurent pris dans le ciment, les cailloux avec lesquels mon père avait écrit ton prénom, tu sais, maman ?
								
								
								
							
						
								
										Ma maison, en Lorraine, où je vis, de temps à autre, voyageur  de l'imaginaire,   est un navire amarré à la rue.
								
								
								
							
						
								
										C'était dans l'unique librairie d'une bourgade --comme un dernier fanal dans la nuit.   En feuilletant, au hasard, une anthologie  de poésie je découvris les lignes que tu avais écrites à mon sujet.   Quelques mois plus tard un article de journal annonçait que tu étais dans le paradis des poètes.   Ce matin, je pense à toi comme à  d'autre...
								
								
								
							
						
								
										Tout poème, lancé dans le fatras du monde,Trouve, un jour, un regard, --un regard et un coeur,Et, de cette rencontre, où qu'il soit dans le monde,Le poète reçoit l'écho, et la lumière !
								
								
								
							
						
								
										La vie est une attented'on ne sait quel amourNos vies ! On s'en contente !Il faut que l'on savourece qu'il reste de jour
								
								
								
							
						
								
										Qu'aurait donc été ma vie sans le "spleen" de Baudelaire et l'humour d'Apollinaire ?   Dans leurs livres, j'ai appris l'espoir et le désespoir les couleurs : le blanc, le noir...   A eux, je suis redevable du peu que je crois savoir de la frêle magie des mots...   Qu'aurait donc été ma vie sans l'immense galaxie du pein...
								
								
								
							
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