Tout poème est un cri du silence, une clef perdue que l’on trouve sur un chemin de campagne, sans savoir quelle porte elle ouvre, à quels chagrins, quelles joies, elle donne accès. Il faut vouloir lire entre les lignes, discerner les lueurs entre les ombres, l’infini du ciel dans les interstices entre les mots, entendre les gran...

michelconrad' Blog
Ce tissu flamboyant, peuplé de mille cœurs, c'est la vision que j'ai de vous, Vous êtes la vie, dans ses plus beaux élans, elle vibre en vous, se devine dans votre regard, dans votre quête passionnée de la beauté des paysages, des rythmes, des musiques, des couleurs, des saveurs, des diamants du poème, comme d...
A l’infini d’aimer,
sans bruit, tu es venue,
reconstruire ma vie,
au milieu des décombres,
tu en fais le royaume,
où il me faut t’aimer
à en perdre le souffle,
dans l’âpreté des aubes,
tu as conquis mon cœur,
désormais, sans partage,
tu m’ouvres un...
sans bruit, tu es venue,
reconstruire ma vie,
au milieu des décombres,
tu en fais le royaume,
où il me faut t’aimer
à en perdre le souffle,
dans l’âpreté des aubes,
tu as conquis mon cœur,
désormais, sans partage,
tu m’ouvres un...
Quand la menthe fleurit,
je rêve de l’absente,
celle pour qui j’écris,
pour qui je me tourmente,
l’absente dont je rêve,
illumine ma nuit,
d’une douceur sans trêve,
d’une joie infinie,
dans un désir extrême,
toujours je la supplie
par les mots du po...
je rêve de l’absente,
celle pour qui j’écris,
pour qui je me tourmente,
l’absente dont je rêve,
illumine ma nuit,
d’une douceur sans trêve,
d’une joie infinie,
dans un désir extrême,
toujours je la supplie
par les mots du po...
A jamais, mon amour,
jusqu’à la fin des jours,
je te parle, j’écris,
ainsi s’en va la vie,
à jamais, en liesse,
je t’aime, ma princesse,
je ne pourrai finir
qu’au moment de mourir,
à jamais dans le rêve
qui ne connaît de trêve,
je chante ta beaut...
jusqu’à la fin des jours,
je te parle, j’écris,
ainsi s’en va la vie,
à jamais, en liesse,
je t’aime, ma princesse,
je ne pourrai finir
qu’au moment de mourir,
à jamais dans le rêve
qui ne connaît de trêve,
je chante ta beaut...
Dame, il me faut rendre les armes,
quoi que je fasse et où que j’aille,
il me faut vous dire à genoux :
je ne peux pas vivre sans vous.
Est-ce le ciel qui décida
que je devais suivre vos pas ?
Il me faut vaincre son courroux,
je ne peux pas vivre sans vous.
L’ Amour, ce faiseur de...
quoi que je fasse et où que j’aille,
il me faut vous dire à genoux :
je ne peux pas vivre sans vous.
Est-ce le ciel qui décida
que je devais suivre vos pas ?
Il me faut vaincre son courroux,
je ne peux pas vivre sans vous.
L’ Amour, ce faiseur de...
La dernière plage, le dernier amour, le dernier infini, le premier matin, la première pensée, le premier refrain. Ainsi vont mes jours, ainsi vont mes nuits, ainsi court l’amour, ainsi le poème demeure sur la page où le vent s’attarde, tandis que tu es ma source de joie. Je n’ai plus le temps que de l’essen...
L’espérance est semblable à l’herbe folle des chemins de traverse : les orages, la foudre et la grêle n’en viennent pas à bout. Elle est semblable au chemineau, au colporteur de livres d’autrefois. Chaque poème écrit pour toi est un almanach de contrebande. Lisible par tous, il va de regards en re...
Loin de toi, tout me semble amer,
comme une nuit sur la terre,
comme un enfer,
surgit une envie d’être heureux,
une lumière dans mes yeux,
un grand ciel bleu,
lorsque me submerge la joie
l’envie de vivre qui est en moi,
me vient de toi,
le temps et l’espace deviennent,
un royau...
comme une nuit sur la terre,
comme un enfer,
surgit une envie d’être heureux,
une lumière dans mes yeux,
un grand ciel bleu,
lorsque me submerge la joie
l’envie de vivre qui est en moi,
me vient de toi,
le temps et l’espace deviennent,
un royau...
Rêver d’un amour,
c’est, un peu, le vivre :
dans les sables
mélangés à l’or,
il y a mon amour
pour toi,
lointaine et si proche,
à la fois,
– le plus beau de cette vie
est, sans cesse, à inventer
dans le matin d’été....
c’est, un peu, le vivre :
dans les sables
mélangés à l’or,
il y a mon amour
pour toi,
lointaine et si proche,
à la fois,
– le plus beau de cette vie
est, sans cesse, à inventer
dans le matin d’été....
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