Présences entrecroisées sous nos tendresses d'écume
Fragrances et bruissements de vérité au chant du silence
Effroi en appel fuyant en l'ouvert foudroyé
Larmes refermées sur nos terres d'argile
Douleur en abîme au souffle qui surgit
Peur semée en nos veines au gré de l'Ange
Ombres glacées parmi les noeuds d'angoisse
Inguérissable une voix lave l'agonie du jour
Linceul d'amour extrême
en mal
D'une vérité de neige ardente
De gerbes d'espoir à hauteur de ciel
D'une symphonie de douceur-étoile
- Esterina et M. de Saint-Michel aiment ceci