Au large cingle le ressac. Au près s'hument les embruns. Seul devant son ectoplasme...
Amour
Comme un vertige il glisse
Le long des falaises crisse
Dans le sable s’immisce…
Comme un vertige il régale
Le long des falaises cavale
Dans le sable s’exhale…
Comme un vertige il brille
Le long des falaises scintille
Dans le sable s’instille…
Comme un vertige il sombre
Le long des falaises obombre
Dans le sable s’encombre…
Comme un vertige il veille
Le long des falaises ensoleille
Dans le sable s’émerveille…
Comme un vertige il brûle
Le long des falaises ondule
Dans le sable s’inocule…
Le long de tes vertiges
Au cœur de tes falaises
Le sable devient perle…
Les trois premières strophes portent déjà tout "le mystère".
hasia