Comme un ailleurs appelé de tous mes cris, aux heures
d'éternité vagabonde d'un monde aux étonnements de couleurs,
je me console à l'ici du maintenant, seule valeur...
Comme un ailleurs déchiffré de tous mes sens à la peau de fleurs,
marqueurs pénétrant jusqu'au sang de douleur et de vigueur,
je m'abandonne aux reliefs des sentiments plusieurs...
Comme un ailleurs à la demande d'asile de ton coeur,
j'ai apprivoisé ses battements et en lui je loge à la douceur
d'un printemps, aux surprises écloses de forces de bonheur,
je me fonds aux paysages de ton alphabet qui ne trompent, ni n'écoeurent.
Source : Comme un ailleurs...