Cassée sec à la violence vide à l'aveugle de la haine,
il ne me reste plus qu'à ramper au bois mort se tordant tel un insecte,
il ne me reste plus qu'à goûter à la saleté coutumière allant se bêtifiant au bordel,
il ne me reste plus qu'à m'asphyxier au souffle court se raréfiant à la misère totalitaire,
il ne me reste plus qu'à crever au paillasson de la honte aux semelles se frottant
de la boue de ma cervelle,
il ne me reste plus...
Source : Viol