Les chansons me donnent le vertige
Mes nuits contiennent une révolte...
J’ai le vertige
À force de penser aux gens amis
Qui font obstacle devant mes portes d’espoir...
Sans la révolte de mon cœur
Le bleu du ciel
Les soubresauts de la mer
M’emmènent là-bas
Impitoyablement…
Les soupirs ne savent pas
La révolte
De mes chansons secrètes.
Qu’ils n’oublient pas pourtant
Qu’ils ne pourront pas m’arracher à toi
Qu’ils ne pourront pas t’emporter loin
Car cette révolte
N’arrête pas de croître…qu’ils n’oublient pas.
Üzeyir Lokman ÇAYCI
Bor, le 13.01.1976
Traduit par : Yakup YURT
http://www.artmajeur.com/serap/
illustration(resim) : Üzeyir Lokman ÇAYCI