à la mémoire de Pablo Neruda
mon amour c’est maintenant ou jamais...
sur la crête de la vague perchés
profitons du sourire des dieux
profitons du printemps, profitons-en!
Á nous encore et toujours
la foudre
à nous encore et toujours la mèche
qui plus elle brûle moins s’éteint!
Et allons-y de vert dévêtus
de fleur en fleur faire l’amour
tant que c’est encore le printemps…
tant qu’il y a encore des printemps…
(c’est jamais...ou maintenant
mon amour... ?)