Comme une étoile fuyante, lasse de m’être proche,
Quand tu déchantes à la lueur d’une crampe de poche,
Je m’empresse, des agrumes sur mon visage
De croître tout en bas à la merci d’un sabotage.
Serait-ce une folie ou le parfum de la noirceur,
Qui me prend l’étain et un peu de sable
Quand je te souhaite un ciel de rencontre ?
Moi le condamné à l’imparfait, coupable,
De flâner chez les autres à l’exact contr-
aire de clones, illusion de notre bonheur.