je lis vos réplique Victor....vous êtes vraiment le stéréotype parfait du Français chiant avec qui parler de politique. Comprenez une bonne fois pour toute que ce qu'il y a d'important, ce n'est pas vos petits bulletins de votes, mais les décision qui sont déjà prisent sous voile par des gens qui prévoient. Il faut être vraiment con pour croire que n'importe quel raisin pourrait s'installer à la présidence de la France, peu importe son parti ou ses idées. Ces gens sont formés d'avance et n'arrive pas à l'improviste. LA mascarade c'est justement votre opinion et la merde médiatique qui l'entoure. J'aime mieux un seul con qui dirige un pays et qui fait avancer les choses que milles cons qui s'obstinent et qui laisse tout en place.

#31
Posté 21 mars 2015 - 01:15
#32
Posté 21 mars 2015 - 10:46
Du con!
#33
Posté 21 mars 2015 - 11:35
?
De plus inconscient et inconséquent...
#34
Posté 21 mars 2015 - 02:12
Oui, tout à fait... J'écris indistinctement des poèmes en vers rimés ou non-rimés (dits vers "blancs"... Rien à voir avec de quelconques asticots!! 😆)pourquoi n'y a-t-il aucune rime en ce poème? est-ce voula ainsi?.....
De plus inconscient et inconséquent...
?!
- FlorentM aime ceci
#35
Posté 21 mars 2015 - 02:59
En parler oui! Mais ne rien faire est horrible..
Vous nous donnez juste une mauvaise conscience
#36
Posté 21 mars 2015 - 04:36
Il est bien vrai que dénoncer n'est pas résoudre... Mais que peut faire un individu concrètement dans l'état actuel des choses? Tout est décidé dans les "hautes sphères"...En parler oui! Mais ne rien faire est horrible..
Vous nous donnez juste une mauvaise conscience
- pigloo aime ceci
#37
Posté 21 mars 2015 - 06:14
c'est ce que je disais!
#38
Posté 21 mars 2015 - 08:30
Moi ça me fait mal il y a toujours des élections
il y en a une qui arrive et rien ne se passe
#39
Posté 21 mars 2015 - 11:36
#40
Posté 22 mars 2015 - 04:34
Un poème d'actualité
Merci pour le partage
Bonne soirée
Amitiés
- M. de Saint-Michel aime ceci
#41
Posté 22 mars 2015 - 06:57
Merci à vous. Cordialement.Un poème d'actualité
Merci pour le partage
Bonne soirée
Amitiés
#42
Posté 27 mars 2015 - 12:03
Glacial comme un tombeau où l'on descend petit à petit...
- M. de Saint-Michel, pigloo et FlorentM aiment ceci
#44
Posté 28 mars 2015 - 05:25
Aussi effrayant que la peinture de l'Enfer par Bosch ou le Guernica de Picasso. Une remarquable conjugaison de l'individuel et de l'universel, de la sensation et de la signification, du concret et de l'idée qui ne laisse aucun espace de respiration ou d'espoir. Pas d'échappatoire.
Seule issue, la révolte, sans romantisme ni illusion. Recours au pessimisme actif et à l'optimisme raisonné.
Encore une fois, nous rechercherons un peu d'espoir dans l' Electre,de Giraudoux, aux pires heures de la Guerre::
"-Comment cela s'appelle t-il, lorsque le jour se lève, comme aujourd'hui, et que tout est gâché, que tout est saccagé, et que l'air pourtant se respire, et qu'on a tout perdu, et que les innocents s'entretuent, mais que les coupables agonisent, dans un coin du jour qui se lève ?
- Cela a un très beau nom, femme Narsès : cela s'appelle l'Aurore. "
- M. de Saint-Michel, pigloo et FlorentM aiment ceci
#45
Posté 28 mars 2015 - 06:00
Nous irons dans les banques piller les banquiers irresponsables
#46
Posté 28 mars 2015 - 07:26
Voilà un poème qui me laisse perplexe... J'avoue qu'il me sonne faux quelque part au coeur...Je ne remets en cause ni sa structure ni son style, très efficace, mais il me renvoie à un quotidien de travailleur social que je suis, incapable d'écrire sur les souffrances que je côtoie parce que cela me semble poser des questions à la fois esthétiques et éthiques. Et ces questions que je me posent ne me semblent pas ici se résoudre d'une façon satisfaisante pour moi...
Je vous remercie de ce poème, il me questionne profondément...
- M. de Saint-Michel et FlorentM aiment ceci
#47
Posté 28 mars 2015 - 07:32
Doublement merci - et pour votre commentaire (et ses références picturales) et pour les deux dernières répliques de la pièce de Giraudoux. (Celles-ci me faisant penser à cette parole, que j'aime entre toutes, de Bernanos: "Pour trouver l'espoir, il faut aller au-delà du désespoir.")Aussi effrayant que la peinture de l'Enfer par Bosch ou le Guernica de Picasso. Une remarquable conjugaison de l'individuel et de l'universel, de la sensation et de la signification, du concret et de l'idée qui ne laisse aucun espace de respiration ou d'espoir. Pas d'échappatoire.
Seule issue, la révolte, sans romantisme ni illusion. Recours au pessimisme actif et à l'optimisme raisonné.
Encore une fois, nous rechercherons un peu d'espoir dans l' Electre,de Giraudoux, aux pires heures de la Guerre::
"-Comment cela s'appelle t-il, lorsque le jour se lève, comme aujourd'hui, et que tout est gâché, que tout est saccagé, et que l'air pourtant se respire, et qu'on a tout perdu, et que les innocents s'entretuent, mais que les coupables agonisent, dans un coin du jour qui se lève ?
- Cela a un très beau nom, femme Narsès : cela s'appelle l'Aurore. "
Nous irons dans les banques piller les banquiers irresponsables
C'est une idée...
#48
Posté 28 mars 2015 - 07:32
Doublement merci - et pour votre commentaire (et ses références picturales) et pour les deux dernières répliques de la pièce de Giraudoux. (Celles-ci me faisant penser à cette parole, que j'aime entre toutes, de Bernanos: "Pour trouver l'espoir, il faut aller au-delà du désespoir.")
Perso l'espoir j'ai du mal car personne ne s'engage sur les causes profondes
à savoir l'usage de l'argent et sa confiscation par les banques
#49
Posté 28 mars 2015 - 07:52
En fait, je n'ai pas écrit ce poème dans une optique politico-sociale: l'anonyme dont il est question ici, agonisant dans les décombres, n'est rien d'autre que l'homme sans repère (ni repaire) du monde moderne, ne croyant plus en rien et encore moins en lui-même, soumis à la solitude, l'abandon, la déréliction... C'est de cette misère, pas seulement matérielle, mais avant tout spirituelle dont j'ai voulu parlé.Voilà un poème qui me laisse perplexe... J'avoue qu'il me sonne faux quelque part au coeur...Je ne remets en cause ni sa structure ni son style, très efficace, mais il me renvoie à un quotidien de travailleur social que je suis, incapable d'écrire sur les souffrances que je côtoie parce que cela me semble poser des questions à la fois esthétiques et éthiques. Et ces questions que je me posent ne me semblent pas ici se résoudre d'une façon satisfaisante pour moi...
Je vous remercie de ce poème, il me questionne profondément...
Merci, en tout cas, pour votre réflexion.
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