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Never

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#1 Invité_woodelys_*

Invité_woodelys_*
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Posté 20 mars 2017 - 11:07

Never – Oliver Delabre

 

Je dormirais sur vos lettres
Occupant toute pensée
D’un état-d’âme insensé
Pour sauver l’Amour de l’aître !
Me contiez-vous l’hier
Avant le départ misère,
Pour cette Île victorienne
Loin d’une Vie parisienne.

Evanescent contre-jour !

Never, vous ne m’oublierez
En griffonnant d’un stylo,
Mots doux que vous aimerez
M’offrir d’une plume d’O !
Me contiez-vous naguère
De vos lèvres joaillière,
À l’aube du dernier jour
Où larme se vêt d’ajour.

Où êtes-vous Edimbourg ?

Never, la Vie parisienne
Ne s’enfuira de vos yeux
Sous les mots dits : « je Vous veux »
Vous baladant « éolienne »
Ces tourments loin de vos limbes
Dormant pensées en corymbes
Of words of love-shakespeare
Offering me your empire !

Flânez-Vous aux alentours ?

Never, ne Vous oublierai
De mon corps, ni de pensée
D’un désir de Vie avouée
Sous l’oreiller déchiré
O.. d’un parfum transpiré,
Me contiez-vous cet hier
Of a spring overnight stay ;
Never, I’ll forget this way !

Cherchant l’Amour d’un glamour,

Nous dormirons sous nos lettres
Nous allongeant doucement
Evitant leur froissement
En lointaines oubliettes,
Sous des draps illuminés
Et complices d’enfreints… nés,
Même aux heures froid’ émises
Sous cruel Vent de banquises
Où se meurent environs
Et les heures de raisons
Chuchotés, noyant l’Amour
Ignorant le sombre jour
Ô.. des Terres éloignées
De nos âmes délignées.

Et romance sans un ajour,
Oubliant le désamour,

Never, You told me unlove
During the Parisian stroll

On Quays, near the house of love
Just under a noise of owl
Frissonnant nos âmes belles
De touchés, frôlés rebelles
Se remarquant en nos corps
Au bord de Seine à babord.

À vaincre le Troubadour,
Et l’aimer d’un doux velours ;

Never, la Vie parisienne
Ne s’enfuira de vos songes

Contant noble vie « septième »
Goûtée d’instants comme bronzes,
Jetant comédies en Seine
À nourrir Gent de la peine
D’observer le bonheur vivre
Du « Voyage » qui enivre
Occupant toute pensée

Au fil de plumes d’îlettes
Cueillies le jour insensé
Ô.. de cet Amour idoine
En un songe sur mes lettres
Délectant ce goût pivoine ;
Crépuscule de rosées
D’une larme d’irisées .

Evanescents contre-jours
D’une histoire de toujours !

 

Oli ©Never

© (P)-20/12/01 à London (7p) *Lon14

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