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Nature pardonne-moi

nature pensée

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#1 modepoete

modepoete

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Posté 27 novembre 2017 - 09:15

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Nature  tu nous sers à mal ta puissance

Mais nous nous devons de comprendre

Que tes atomes se bougent d’entreprendre

Leurs mouvements libres de ta quintessence

Tant bien  qu’un  bras sauveur te fasse absence

 

Tu n’as pas de temps, noël ne t’appartiens

Impartiale tu ne cherches à avoir le choix

Pauvre ou riche cela ne t’importe,  tu  broies

D’Est en Ouest, du Nord au Sud  tu nous reviens

Quand bon te semble n’assurant les fêtes du bien

 

Il n’est pas de Dieu souverain à ton contre

Tu es seule nature à te disposer à l’éther

L’humain  pervers, égoïste  est bien  amer

Quand vers tes cieux il immole de viles ombres

Dans  des prières inutiles, ahuri il sombre

 

Nature  tu es du principe, loi scientifique

Mais toi l’humain  tu ne comprendras ce : Elle est

Primat de l’un engendrant  tous les respects

Que tu dois admirer  pure arithmétique

Que la nature t’a donné, jeux sages et  logiques

 

La douleur est forte quand tu jaillis imparable

L’humain te vilipende, toi la dévoreuses de ses vies

Mais croit t’il aventureux critique ; qu’il t’eut conquis

Tu ne décris là que  son maléfice de l’insupportable

Tricher, sur ce que tu lui garantis,  d’acceptable

 

Il croit te magnifier en appelant tous ses  Dieux

En prédisant scélérat  à leur bon confort  ta fin

Elément du tout, ton système solaire périra de faim

D’avoir consommé ces atomes ignés dans tes cieux

Et notre terre, notre humanité de ne plus faire d’envieux

 

De ta terre coule  cordé le sang nourricier  de ta lave

Nécessité de se vivre  pour  préserver ta vie  temporelle

Humain instruis-toi de la nature, expérience artérielles

Tu n’es pas en droit  d’arracher à la vie  ce sage brave

Que tu as endoctriné et qui te croit  bonne emblave

 

Nature on nous laisse à penser que  tu accueilles

D’autres êtres en d’autres systèmes, est t’il vrai

Tout dans ton espace, comprenant le néant illimité

Se contient dans un début et une fin qui aura le deuil

Aurons-nous ce temps qui se dévide pour  leur accueil

 

Humain  à quoi te servira  de connaître l’extraterrestre

Connais-toi toi même, apprend à vivre dans ta nature

Ne fais pas grincer celle qui ne t’appartient  à l’usure

Comprend qu’elle peut se rebiffer sur le  circumterrestre

Ta logique mathématique restera t’elle dans sa fenêtre

 

Humain   tu n’es qu’humain, tu ne peux être un Dieu

Pauvre conscience, pauvre intelligence qui se pourvoit

Révélatrice d’inexistant, tromperie, gausserie de voix

Pour aguicher ceux qui recherche un moral du mieux

Vils gourous la nature devrait vous réexpédier sans adieu

¤

Nature on dit que tu nous fais  radicalement naître bon

Les énergies que tu procures à notre corps sont de parité

Bon ou mauvais, aléatoires ils se posent  parfois démesurés

Nous devons  les  canaliser  adroitement sur le grand  front

De notre  raison pour que notre  pensée  se cale à ton fond

 

Nature pardonne moi, je ne te conçois  pas   divin

Je comprends que le malheur soit source d’enjeux

Et que l’humain soit tenté d’une prière aux cieux

Mais le déisme est une capitalisation de l’argent venin

Qui te détruit, qui nous détruit  au bûcher du déclin

ƒC





Aussi étiqueté avec au moins un de ces mots-clés : nature, pensée