Épitaphe.
Quand je serais mort ne venez pas sur ma tombe, car je n’y serais plus.
Je serais autour de vous dans l’air qui vous enveloppe et que vous respirez.
Dans le ciel et les étoiles, quand vous les regardez, unissant ainsi nos esprits.
Mais ne me pleurez pas, je ne veux que les larmes qui descendent du ciel
Car c’est moi qui suis triste de vous avoir quitté, et à mon tour je vous regarde.
Mais ce qui me console, c’est enfin de retrouver ceux que j’ai aimé et qui sont parti avant
Retenez une chose, la mort ne nous sépare pas, mais nous rapproche des êtres disparus
Rappelez-vous : Qu’une seule personne pense a vous, et vous ne mourrez jamais.
Alors, pensez à moi, en bien ou en mal, l’important c’est moins ce que l’on pense que la pensée elle-même
Emmanuel LHostis le Avril 2013