Parures de vent aux feuillages vert d'un printemps qui se presse,
tissant la joie de l'oeil au regard net de photosynthèse,
touchant le visage dessiné de beauté qui, du préservé, se délecte...
d'instants mutant la terre errante au ciel lune de sommeil.
Parures de vent aux voiles du libre qui, au déshabillé, rime,
étoilant l'océan de poésies aux vers empressés de vagues roulantes de vie,
éloignant des ports la coque conquise d'aventures qui, au futur, se ruent...
et d'étape en étape regagne la ferme terre aux places d'avenues
aux fontaines qui, les marins, au cru d'une eau potable désaltère, au siècle de suc.