L'eau coule à la mer qui roule à travers les mains.
La foule se saoule à chaque carrefour au coude à coude,
qui foule à la houle des pas au déboulé qui, la liberté, accouchent.
Abondance ivre de vie à la poursuite perpétuelle
d'un mouvement, à l'étanché d'un étourdissement,
franchissant les mêmes obstacles à la nécessité d'être,
au cœur qui aboie de fête et de langue, fidélité au maître, fidélité à la vie…
nous entraînant plus avant d'un hasard devenu destin,
à l'écoute du bruit d'une vie se transformant par moments en cris,
cris dans la nuit de l'intérieur qui se figent au réuni des peurs,
se contractant au loin de la confiance restant muette,
désinvestissant, complète, cœur et esprit arrachés de tempête.