A la tombée du jour se brouillent les paysages des visages,
aux limites floues des rides de l'âge, aux contours opaques,
doux aux pomettes de collines et d'espace, à l'extatique d'un arrêt sur image…
vertige sur la corde raide du jour trépassé, de la nuit annoncée,
rêveries à l'infini sous les paupières de la terre dans la mort de la mer...
au détaché du ferme, au laisser-aller qui entraîne
les mouvements de brasse coulée jusqu'au domaine du rêve.