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La Tragédie de l'Âne de Catherine Gil Alcala - Lecture interprétée

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#1 La Maison brûlée

La Maison brûlée

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Posté 02 novembre 2018 - 06:16

 
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Lecture interprétée par Céline Stanhope, Élise Pousset, Erwin Sailly, Geoffroy de La Taille, Marina Delvir, Rodrigo Ramis, Xavier Pilloy, Catherine Gil Alcala

avec la "boussole" de Catherine Gil Alcala

durée 1h30, entrée libre
 
 
 
Le Roi aux oreilles d'âne décollées fait assassiner la Reine des oiseaux pour épouser une nouvelle femme déjà enceinte de lui. Avant de la tuer il lui dit qu'il la fera rôtir pour son repas de noces. La tête décapitée de la reine jette une malédiction sur tous ceux qui auront mangé sa chair. Les oiseaux de proie déterrent dans l'azur les industries chimériques des guerres...



Salon des éditeurs indépendants l'autre LIVRE

Halle des Blancs-Manteaux
48, rue Vieille du Temple, Paris 4e

Métro Hôtel de Ville



Catherine Gil Alcala en dédicace à l'espace librairie du salon le Samedi 17 novembre, entre 18h et 19h. Lecture de la Tragédie de l'Âne à 19h30 à la Salle Cicéro.


Extraits de presse

Son texte traverse à la fois le monde des bêtes et celui des hommes... Et tous sont sur le devant de la scène tragique intemporelle, née de la Grèce. C'est le destin, le fatum qui tisse les lignes de forces... Les spectres des victimes comme dans Hamlet taraudent leurs meurtriers. M. du Crest, La Cause Littéraire

 

Parce que la vie ressemble parfois à du Shakespeare, Catherine Gil Alcala revendique une écriture pulsionnelle... Tout devient autant en fusion qu'en imposition : le Léthé et le Styx se mêlent en une prose poétique qui cultive le paradoxe : « les enfers intérieurs égarent l'être d'un doute invincible ». La peau devient sable, les fileuses des ours. J.-P. Gavard-Perret, lelitteraire.com


Un texte tour à tour hanté par la brutalité sommaire qui nous vient d'Eschyle, et la modernité d'un Ionesco. Tension entre la bouffonnerie et le poème violent... Il faut aussi se laisser porter par la vivacité des répliques, par la truculence des situations, par l'originalité des noms des personnages, et aimer aussi cette métaphore animalière qui conduit les oiseaux vers une humanité sombre et maladive. D. Ayres, Reflets du Temps

 





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