Océan mélancolique, pluie d’espoirs finis,
Que des monts de beautés, au cœur d’un été,
Où le vent se répand, aux senteurs d’origan.
La rose s’émeut, ses pétales couvrent un peu,
Les feuilles d’Automne, la saveur monotone.
Envolées frivoles, caressent le sol,
De leur volupté à la douceur cachée.
Ô sublimes verdures qui parsèment les plaines,
Par leurs fuites hésitées menant au Printemps.
Arbres perdus dont les racines ondulent,
La terre remuée par un voyage célébré.
Inquiétudes infondées rythment la mélodie saisonnière
Lorsque semblent pousser les prémices de l’hiver.
Bonheur inespéré naît dans l’instant,
L’été pointe à la chaleur du vent.
Marrons dégringolent de leurs bogues,
Automne encore est en vogue.
Mélodie d’antan laisse entrevoir,
Saison tombante au sein de cueilloir.