Hachée menue aux machettes de ses mots
me cinglant le visage devenu de vent,
j'expire dans le poumon de sa folle vengeance,
et éternue au dernier souffle dans un mouchoir de néant.
Hachée menue à sa haine qui d'infini se répète,
me minant à cœur ouvert d'émotions débridées sans laisse,
j'étouffe dans un râle macabre qui s'entête,
et éternise la scène pour le bien-être d'ennemis à la cohorte de mat et d'échecs.