Ailleurs vivre sa vie
C’est la maison qui pleure
Ses murs encor remplis
De sa voix son odeur
Sa présence subtile
Et la maison l’appelle:
“Petit, te souvient-il
Des doux moments passés
De la joie et des rires
Toi qui déploies tes ailes
Au vent de l’avenir?”