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Emrys

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Hors-ligne Dernière activité : juil. 21 2025 02:19

#402698 Polémos

Posté par Emrys - 21 juillet 2025 - 02:16

 

 

Ça incite à s’interroger sur soi-même.

sourire

 

Aurions-nous tous dans notre nature humaine des velléités de conflit ?




#402675 Polémos

Posté par Emrys - 15 juillet 2025 - 03:36

Comme disait Giraudoux : « La paix est l’intervalle entre deux guerres. »

Oui un intervalle

 

le temps de se refaire...




#402669 Polémos

Posté par Emrys - 15 juillet 2025 - 08:44

-  Polémos ??!! Tu es de retour sur terre ?

-  De retour ? Mais je n'ai jamais quitté la terre voyons Emrys.

-  Ah ! J'ai cru un moment que...

-  Serais-tu naïf Emrys ? Je me promène partout dans le monde, et ce, depuis de nombreuses années...

...

 




#402640 Jusqu'à ta différence

Posté par Emrys - 07 juillet 2025 - 12:33

La forme du sonnet se prête à une belle musicalité du texte lorsque le talent du poète s'en mêle...

sourire

 

la forme, la musicalité, 'le talent'...

 

voilà bien des choses bien humaines...

 

Je me suis amusé avec quelques IA à les inciter à créer des suites de vers (après avoir donner une début de texte)...

 

 

Résultat. Une succession générative de mots qui dans la forme ressemblait à un poème, sans talent créatif




#402634 Jusqu'à ta différence

Posté par Emrys - 04 juillet 2025 - 03:01

Un oiseau, des baisers, la mort, l'espoir, la forme est brillante, le fond laisse à réfléchir le lecteur !

 

 

j'avoue que ces mots sont venus, étranges, suite à un deuil.

 

C'est une question que je me pose encore: l'écriture poétique est-elle générative ou créative  ?...

 

Peut-être les deux à la fois...

 

Merci pour votre passage sur ces mots

 

Amitiés à vous




#402633 Récits

Posté par Emrys - 04 juillet 2025 - 02:54

Superbes sonnets qui témoignent d'interrogations fondées et de recherches profondes...

 

Le doute nourrit la recherche du chemin.




#402632 Demeurer

Posté par Emrys - 04 juillet 2025 - 02:40

Un jeu de mots final cinglant qui en dit long...

Certes

 

qui en dit long sur moi-même

 

il m'arrive bien sûr de demeurer enfermé dans certaines pensées...


Et rien de tel que la poésie pour ouvrir les « fenêtres » !

Vous avez tout à fait raison

 

la poésie est une manière d'ouvrir les "fenêtres"

 

Amitiés à vous




#402628 Demeurer

Posté par Emrys - 02 juillet 2025 - 07:59

Un jeu de mots final cinglant qui en dit long...

It's a joke (comme disent nos amis anglais)

 

sourire




#402611 Demeurer

Posté par Emrys - 29 juin 2025 - 02:19

°°

 

Demeurer

 

 

Dans son pré carré

 

Dans ses certitudes

 

Dans ses croyances

 

 

Demeurer fenêtres closes

 

 

Dans un monde fermé

 

Dans ses habitudes

 

Dès sa naissance

 

 

Dans un monde livré

 

Dans de bonnes études

 

Dès la prime enfance

 

 

 

Demeuré !

 

 

°°




#402606 La proie pour l'ombre

Posté par Emrys - 28 juin 2025 - 06:35

sourire

 

Ah les rêves !

 

Inspirants parfois terrifiants

 

(un beau poème qui interroge)




#402605 Sur une tombe

Posté par Emrys - 28 juin 2025 - 06:30

Superbe sonnet !

 

J'en aime le classicisme (les rimes des deux premières strophes)

 

mêlé de modernisme

 

 

Amitiés




#402604 Réac !

Posté par Emrys - 28 juin 2025 - 06:25

Bravo

 

pour cette alliance entre le verbe "populaire" et le verbe "soutenu"




#402593 Jusqu'à ta différence

Posté par Emrys - 26 juin 2025 - 05:15

 

L’homme dans son rapport intime avec la nature : quand les saisons sont des émotions !

Certes

 

les saisons génèrent des émotions...

 

mais elles sont récurrentes et de ce fait,  induisent aussi une réflexion créative

 

merci cher ami poète pour votre commentaire




#402582 Jusqu'à ta différence

Posté par Emrys - 22 juin 2025 - 04:09

Un sonnet qui nous rappelle l’emprise du temps sur nos existences…

sourire et merci

 

un sonnet qui me parait étrange (alors que je l'ai écrit)

 

Bah !

 

N'est-ce pas cela écrire, cette étrangeté ?..

 

..




#402579 Jusqu'à ta différence

Posté par Emrys - 21 juin 2025 - 04:37

°°

 

Où se cachent l'hiver, son ciel de marbre gris,

Quand le vent tourne au bleu des lumières vernales,

Quand la fauvette chante en notes atonales

La noce des saisons dont nous sommes épris ?



Le temps fait oublier tout ce qu'il nous a pris:

Le regret des baisers, notre amour automnale,

Le deuil de février, son œuvre cardinale,

Tout ce qui gît sous terre en nos rêves aigris.



Tu connais mon chemin entre lierre et bruyère

Que j'avais pris jadis avant que d'être à Hyères,

Près du bougainvillier, du jasmin indolent.



Je connais ton chemin d'averses et de pluie,

De la couleur absente à la douleur enfouie

Jusqu'à ta différence, Ô printemps insolent !

 

 

°°