Quand je t’aurai dit un million de fois «je t’aime», je ne te l’aurai pas encore assez dit. Quand je l’aurai écrit sur tous les murs de toutes les villes du monde, sur les pavés de toutes les places du monde, sur le sable de toutes les plages du monde, je ne t’aurai pas encore assez prouvé que je t’aime.
Je découvre qu’à chaque seconde l’amour peut renaître, comme les systoles succèdent aux diastoles.
L’amour est un océan : il bat dans nos cœurs, contre ses parois. Il est avide de lumière.
Je t’attends à chaque encoignure de ma vie. Ma solitude n'est plus une solitude depuis que tu y as jeté le brandon fabuleux, le brandon du rêve, le brandon de l'amour.
23/4/24
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- Laurence HERAULT aime ceci