Une ode à cette ivresse des profondeurs hantées par les sirènes...
Cela ne vous a pas échappé...
- M. de Saint-Michel aime ceci
Posté par Romarinemotamot
- 05 juillet 2017 - 06:57
Une ode à cette ivresse des profondeurs hantées par les sirènes...
Cela ne vous a pas échappé...
Posté par Romarinemotamot
- 05 juillet 2017 - 06:54
Féroce sous la cocasserie!...
Bravo M.de Saint-Michel pour cette lecture entre les lignes...
Posté par Romarinemotamot
- 04 juillet 2017 - 08:22
Un bel et émouvant hommage filial.
Elle a bien de la chance cette maman...
Posté par Romarinemotamot
- 03 juillet 2017 - 11:32
Amusons nous
Garez vous n'importe où
N'apportez rien du tout!
Pas besoin de faire croire que vous m'aimez bien...
Dites moi
De mettre le verrou
Et de rallumer tout!
Pas besoin d'attendre que je vous dise viens...
Dites moi
Que c'est un avant-goût
Que j'ai rien vu du tout!
Pas besoin de parler de tout et puis de rien...
Dites moi
Que tout va être flou
Tout en dessus-dessous!
Pas besoin de retarder ce qui fait du bien...
Dites moi
De montrer mes atouts
D'avaler mes tabous!
Pas besoin de faire croire que je suis une sainte...
Dites moi
Que vous êtes un sale voyou
Qui met ses mains partout!
Pas besoin à minuit d'aller prendre un bain...
Dites moi
Que c'est vous le loup garou
Vous le grand méchant loup!
Pas besoin avec moi de longs baise-main...
Dites moi
Que j'ai le rouge aux joues
Moi le Chaperon Rouge!
Pas besoin de faire celui qui me veut du bien...
Ramassez tous
Vos airs de voyou
Qui ne veut plus rien du tout!
Pas besoin de dire merci pour ces petits riens...
Regardez vous!
Dans quel état êtes vous?
Que pensez vous de vous?
Pas besoin je pense de vous faire un dessin...
Lavez vous
De tous nos rendez-vous
Puis retournez chez vous!
Pas besoin en plus de jouer au plus malin...
LA CONTRAVENTION C'EST POUR VOUS!!
Posté par Romarinemotamot
- 03 juillet 2017 - 01:09
À l'origine, en effet, musique et poésie ne faisaient qu'un - ne serait-ce que parce que la poésie était chantée ou accompagnée de musique...
Mais je devine des cantilènes par vous joliment inspirées...tout à votre honneur!
Posté par Romarinemotamot
- 03 juillet 2017 - 09:17
C'est ce qui me touche le plus dans la poésie. C'est pour cette raison que Ferré est ma plus grande référence!
C'est à moi de vous remercier pour vos paroles! (Très sensible au fait que vous ayez apprécié le côté "musical" du poème...)
C'est ce qui me touche le plus dans la poésie. C'est pour cette raison que Ferré est pour toujours ma plus grande référence!
Immense musicien, même dans ses mots. Il aimait à dire qu'avant tout il était musicien.
Posté par Romarinemotamot
- 03 juillet 2017 - 08:39
Quel sablier ne s'égrène
dans les sables du désert
le plaisir avec la peine
le nuage avec la chair
Dans les sables du désert
quelle empreinte ne s'efface
Le nuage avec la chair
ne sont-ils songe fugace
Quelle empreinte ne s'efface
De mirage en illusion
ne sont-ils songe fugace
tous ces jours de dérision
De mirage en illusion
le vent passe le vent roule
Tous ces jours de dérision
à quoi bon Vivre s'écroule
Le vent passe le vent roule
Oh tu peux rêver bonheur
À quoi bon Vivre s'écroule
L'azur d'un instant se meurt
Oh tu peux rêver bonheur
Sous le deuil qui nous entraîne
l'azur d'un instant se meurt
Quel sablier ne s'égrène
Bravo pour l'originalité de la reprise systématique de deux vers de la strophe précédente entrecroisés à la suivante!
Cela en devient musical à mon oreille, la mélodie m'a immédiatement envahie sans en savoir la provenance, alors j'ai lu et j'ai relu et j'ai trouvé la clé de sol...eil de vos mots!
Merci!
Posté par Romarinemotamot
- 03 juillet 2017 - 07:15
Le premier vers vaut la peine d'apprendre par coeur.
Ainsi que le quatrième!
Posté par Romarinemotamot
- 02 juillet 2017 - 05:51
Elle plongeait si infiniment...
S'enfonçant ascétiquement,
Fendant le Bleu artistement!
Guidée par l'étoile de Mer
Vers le "corps-mort" des chimères
Qui jailliraient en un geyser!
Cénotes déshumanisées
Pour dauphine mithridatisée,
Mais au pied marin narcosé...
Femme jet d'ancre enténébrée,
D'écailles lisses si reine ambrée,
A la gueuse un peu plus cambrée!
Regard brouillé par l'halocline,
Errant de contrées abyssines
En d'hypnotiques opalines...
Ode aux abîmes incalculables,
Aux puretés inaltérables
D'une Ame déposée sur le sable...
Posté par Romarinemotamot
- 27 juin 2017 - 07:58
Posté par Romarinemotamot
- 13 juin 2017 - 09:25
C'est beau, juste et désespéré en même temps.
(Et ça résonne tellement en moi en ce moment...)
Posté par Romarinemotamot
- 13 juin 2017 - 10:16
Quand le ciel ouvre
Ses grands yeux bleus
Des étoiles roses
Viennent s'y éteindre
Deux par deux
Au temps qui passe
Le vent graille et mugit
Dans la vallée du silence
Les yacks vont en pèlerinage
Et les goraks s'immobilisent en plein vol
Alors que l'horizon se cristallise
Au regard du sherpa
La montagne retient ses larmes éternelles
''Où allons-nous, mon cher Edmund?''
''Nous irons danser ce soir à Lhassa''
P.S. Et moi, je pars en vacances. Merci à vous qui m'avez
encouragé. Passez un bon été.
Partez peut-être danser vos vacances au Tibet mais surtout ramenez-nous des moulins à poèmes!
Posté par Romarinemotamot
- 13 juin 2017 - 09:41
c'est le texte mis en musique, voilà tout y est il n'y a plus qu'à....
Posté par Romarinemotamot
- 13 juin 2017 - 09:28
Les blasons du corps féminin ont connu une grande vogue aux XVe et XVIe siècles.
Merci messieurs d'avoir éclairé ma lanterne!
A tel point que la nuit me fut blanche, tellement curiosité WIKI tutti quanti...
Posté par Romarinemotamot
- 12 juin 2017 - 06:31
sur un texte de clément marot...d'où le maraudage hihi