Un murmure sibyllin susurre... Amours clandestines. Mnésie onduante...
Alcôves de rêves
Alors que bruissent encore aux creux de mes oreilles
Les doux murmures de tes cheveux d’ébène
Alors que goûtent encore mes lèvres aux merveilles
Déposées par tes sibyllines sirènes
Alors que frémit encore mon derme aux princières
Ondes de tes mains envieuses
Mon visage en linceul sur le suaire de tes paupières
Accompagne ta nuit doucereuse
Accompagne ta nuit, douce, heureuse
Aux confins de tes rêves je me love
Aux confins de mes alcôves je te rêve